Question rhétorique

sont les neiges d'antan ?» à chaque fin de strophes. Outre le fait que le poème est une forme fixe, on remarque que le poème est une question il va se développer à travers une question initiale « dites moi où », « en quel pays est ? » vers 1 et 2. Cette question est doublée par une autre question qui offre une sorte de contrepoint à la première, la deuxième question est celle posée par le refrain. Le contrepoint est un système d'écriture musicale qui a pour objet la superposition de deux ou

vie pour de l’argent. Les Européens ont inculqué de mauvais exemple comme « la trahison, la luxure, l’avarice, et vers toutes sortes d’inhumanité et de cruauté à l’exemple et patron de nos mœurs » (lignes 17-18). On a une question rhétorique à la ligne 18. Cette question porte sur le profit. Montaigne dénonce mais formule aussi un rêve (utopie). L’auteur est porteur d’un projet pour l’homme. Montaigne évoque le modèle des anciens. Ils ont apportés civilisation. On a une métaphore aux lignes

Bonnard et Vuillard, plutôt que des autres peintres impressionnistes. Peintre ou photographe ? S’apercevoir qu’il s’agit d’une question rhétorique n’est pas si simple qu’il n’y parait. Si l’on est un membre du jury dans la troisième exposition impressionniste en 1877, et qu’un an avant l’on a refusé le tableau « Raboteurs de parquet », on va vraiment se poser la question, et l’originalité et l’audace de Caillebotte triomphera. Déjà parce que Zola, l’influence même de par sa notoriété, a rédigé un

opposés : une argumentation en faveur de l’inconstance amoureuse et une contre-argumentation à l’égard de la fidélité. - début du discours par question rhétorique doublé d’une exclamation « Quoi ? Tu veux qu’on se lie …» = étonnement, indignation devant la position de Sganarelle et par conséquent l’évidence de sa propre conception. - dans cette question : 3 propositions subordonnées qui donne un rythme ternaire à la phrase + effet quantitatif des faiblesses des idées de Sganarelle….. - ironie

divers procédés de style (Voir également la fiche Les figures de style). 1 - L'implication du lecteur dans le discours L'apostrophe : L'auteur s'adresse directement au lecteur. Ex : "Parents, ne gâtez pas vos enfants." La question rhétorique, ou oratoire : L'auteur pose une question à laquelle il ne répond pas. Ce procédé suppose que la réponse est évidente, donc inutile à formuler. C'est une façon d'attirer l'interlocuteur de son côté. Usage des pronoms "vous… votre…", ou de la 1e personne du pluriel

avis et en répondant à son maître se met dans une position délicate et en plus provoque son maître, elle l'interrompt souvent et ne lui laisse que peu souvent la parole l'on voit un signe de son énervement au vers 551 avec la présence d'une question rhétorique « Te tairas […] effrontée ? », Dorine exaspère tellement qu'il la menace d'en venir au mains au vers 571 « il faut […] main » c'est aussi une preuve de la faiblesse d'Orgon qui n'ai pas assez influent pour faire taire sa propre employée, mais

style insiste sans doute sur la discrétion de l’homme dans son sommeil, sur sa respiration à peine audible. Nous pouvons d’ailleurs remarquer que Tchen s’interpelle à propos de ce pied et se demande : « Terminait-il un corps ? ». Par cette question rhétorique, apparaissent les doutes du jeune homme qui se demande si l’homme est réellement vivant. Enfin, l’emploie de mots comme « corps » ou « chair d’homme » donne bien à l’homme une image de dépouille.

PROCEDES D'ECRITURE DU REGISTRE ORATOIRE 1- L'implication du lecteur dans le discours L'apostrophe L'auteur s'adresse directement au lecteur. Ex :"Parents, ne gâtez pas vos enfants." La question rhétorique, ou oratoire L'auteur pose une question à laquelle il ne répond pas. Ce procédé suppose que la réponse est évidente, donc inutile à formuler. C'est une façon d'attirer l'interlocuteur de son côté. Usage des pronoms "vous... votre...", ou de la 1epersonne du pluriel "nous"

Questions Phèdre acte 4 scène 1) On remarque une relation particulière entre les deux protagonistes. Le fils, Hippolyte, le vouvoie et l’apostrophe de façon respectueuse : «seigneur», « mon père». Quant à lui Thésée tutoie son fils et le traite de «traître». Ces deux personnages n’ont jamais eux de relation père-fils très proche, étant donné qu’il a retrouvé son père depuis peu et se retrouve d’ores et déjà accusé d’aimer sa belle-mère, donc de semer le trouble. 2) Hippolyte n’accuse pas Phèdre

serait en lien avec son destin → Hector est dans le 1er degrés tant dis que helene joue avec le second degrés → incompréhension 2ère partie : Hélène sait que son retour en Grèce ne changera rien « me moquer pourquoi » Hélène pose une question rhétorique → Hélène se moque d’Hector car rien ne peut arrêter cette guerre, elle aura lieu (Hélène se moque d’Hector et Hector se moque d'helene, seul helene le voit) - « nous verrons biens bien » les troyens verrons de leurs yeux qui avait raison