Réfugiés palestiniens

1945 Depuis 1948, date de création de l’Etat d’Israël, le Proche-Orient est le théâtre de nombreux conflits opposant l'Etat juif à ses voisins arabes. Au cœur des tensions, l'insoluble question du partage des terres entre Israéliens et Palestiniens. Après six conflits armés et deux Intifada, la région est devenue une véritable poudrière prête à s'embraser à la moindre provocation. Aujourd’hui, elle est de nouveau en proie à une poussée de violences, et l’on craint l’éclatement d’une troisième

civile en Algérie (90s) car annulation des votes du a la majorité pour les islamistes. 2. L'impasse du Proche Orient - conflits israëlo-palestiniens: partages de terres, conflits qui durent depuis 1948. - Jérusalem, très importante aux yeux des 3 religions: musulmans, juifs et chrétiens. - limite des frontière: problème - droit au retour des réfugiés palestiniens - l'islamisme a chuté à cause du 11 Septembre. - Ce conflit est important car l'opinion publique du monde arabe reproche aux Américains

Washington en 1993 qui consacre la reconnaissance mutuelle d'Israël et de l'OLP et prévoit la mise en place d'une autonomie palestinienne progressive sur les territoires de Cisjordanie et de Gaza. Cette reconnaissance mutuelle est symbolisée par la poignée de mains Rabin - Arafat. 1994 et 1995 sont des années d'euphorie. Les premiers accords consacrant l'autonomie palestinienne sont signés, Yasser Arafat est accueilli triomphalement à Gaza le 1er juillet 1994. L'accord entre les parties semble parfait

puissances victorieuse France et GB. Le Liban et la Syrie sont placés sous mandat français tandis que la Palestine, la Jordanie et l'Irak sont sous mandats britannique. Le nationalisme arabe se heurte à cette nouvelle mainmise mais aussi à la question palestinienne. La Palestine étais habitée par deux communautés arabe soit 1 200 000 et juive soit 400 000. Or la doctrine sioniste de Théodore Herzl prône le retour des juifs en Palestine et revendique une identité territoriale correspondant à l'identité juive

l’exception de la bande de Gaza (placée sous administration égyptienne) et la Cisjordanie avec la vieille ville de Jérusalem (annexé par la Jordanie) Humanitaires : Les arabes de Palestine n’ont pas d’Etat et se réfugient dans les pays voisins (camps de refugiés improvisés) : « al- Nakba » Quels sont les territoires arabes occupés et colonisés par Israel depuis 1967 ? Enumérez ensemble avec les conflits ayant donné lieu à l’occupation . Guerre des six jours 1967 : le Sinai et la bande de Gaza, pris à l’Egypte

par Israël, les Palestiniens n’ont plus d’Etat : Israël s’attribue 70% de l’ancienne Palestine, alors que le roi de Jordanie annexe la Palestine arabe !). Les réfugiés affluent, notamment vers la Jordanie et se regroupent dans des camps de réfugiés. - les Arabes, humiliés par la défaite, se soudent plus que jamais dans le rejet de l’Etat juif. C’est contre Israël que le panarabisme s’exprime le mieux. Réciproquement l’hostilité arabe renforce le refus par Israël d’un Etat palestinien. -1949 : Israël

La création de l’Etat d’Israël. Jusqu’en 1939 la Grande Bretagne favorise l’installation de la communauté juive au sein de la Palestine. Leur installation est favorisée par l’achat de terres cultivables aux palestiniens. On compte alors plus de 425000 juifs immigrés en Palestine A partir de cette date charnière, l’immigration juive en Palestine va être régulée avec la mise en place de quota à l’année, cette date marque aussi l’avènement de transaction financière entre populations juives et

Tibériade(importante ressource d'eau potable). Le conflit israélo-arabe est parallèle et partie liée au conflit israélo-palestinien, caractérisé par la question des réfugiés palestiniens, par l'exacerbation du sentiment national palestinien (né dans les années 1920 mais jamais concrétisé par la création d'un État) et par l'apparition à la fin des années 1960 de groupes activistes palestiniens perpétrant attentats, prises d'otages et détournements d'avions. Sommaire  [masquer]  * 1 Chronologie * 2 Immigration

territoire à 78% de l'ancienne Palestine et à Jérusalem Ouest. La Jordanie annexe la Cisjordanie et l'Egypte administre la Bande de Gaza. Les Palestiniens arabes se trouvent privés d'Etat. Une minorité demeure en Israël alors que plusieurs centaines de millions se réfugient dans des états voisins et sont regroupés dans des camps créés par l'ONU. Le problème des réfugiés devient une composante majeure du conflit israélo-arabe et la lutte contre l'état sioniste devient le ciment du nationalisme arabe. La

enjeux spécifiques expliquent sa place particulière dans les relations internationales. Les réserves de pétrole suscitent la convoitise des grandes puissances. La naissance d'Israël en 1948 engendre l'hostilité des Etats arabes et l'opposition des Palestiniens, créant un état de guerre quasi permanent. L'islamisme se développe ensuite dans cette région, qui est le berceau de l'islam comme du judaïsme et du christianisme, ce qui accentue les risques de déstabilisation. I- Un foyer d'instabilité majeur