Registres Ruy Blas

écrira à 14 ans : « Je veux être Chateaubriand ou rien. » Il deviendra le monstre sacré de la littérature que l’on connaît. Polygraphe, il rédigera aussi bien des recueils poétiques (Les Contemplations, Les Châtiments) que des pièces de théâtre (Ruy Blas, Hernani) ou des romans (Notre-Dame de Paris, Les Misérables) Elu à l’Académie française à 39 ans seulement, il passe encore aujourd’hui pour avoir été le chef de file du romantisme. Le Dernier jour d’un condamné est une œuvre de fiction (un

déstabilisation des fondements du pouvoir  qui peut commander, d’où la tient-il ? rapport gouverné/gouvernant Tenter de mettre du relationnel dans l’irrationnel « divin » Consentement des peuples Les Lumières se firent comme en opposition aux préjugés  Registre politique notamment  comment fonctionner autrement ? Lutte contre les préjugés Thème despotisme + Fr XVIII monarchie de droit divin Evolution de nouvelles classes sociales (bourgeoisie) : encore en charge de fonctions militaires et/ou politiques

l’Antiquité, essaie de retenir l’attention de son auditoire en multipliant les arguments. Peine perdue ! En leur racontant une histoire, il se fait écouter… Persuader : agir sur la sensibilité du lecteur ou du public. Pour cela, plusieurs genres et registres. 1. La diversité des genres propres à persuader a. Les récits de l’apologue pour persuader ; les diverses formes de l’apologue • Point commun aux apologues : « un récit » (ou une histoire) : le corps du texte et « une morale » : « l’âme » du texte

poèmes lyriques en vers signe l'acte de naissance du romantisme en France. Si la sensibilité et le lyrisme du chef-d’œuvre de Lamartine sont d'essence romantique, sa forme reste encore conventionnelle par bien des aspects (versification régulière, registre élevé). Alfred de Vigny, Victor Hugo, Alfred de Musset et Théophile Gautier emboîtent le pas à Lamartine et participent à cette nouvelle ère poétique qu'il a initiée. - 1823-1825 : Racine et Shakespeare de Stendhal Stendhal se fait l’émissaire

montre le rôle fondamental de Dubois, qui a le discours le plus long de l’extrait. Elle vient contrebalancée la gravité de la confidence de Dorante par une légèreté et une familiarité : « oh ! / Eh ! » propre aux comédies de Marivaux de mélange des registres. Dubois affirme sa réussite avec le vocabulaire du discours et le futur de certitude : « vous réussirez, vous dis-je ». Cette certitude est amplifiée par l’usage de la parataxe « Je m’en charge, je le veux ; je l’ai mis là ».L’anaphore en

|Lui |La demoiselle, la mère, (Moi) | - action : le personnage malin triomphe de l’honnêteté (entre autres par la flatterie) et le personnage honnête est victime. - registre : les trois textes sont à leur manière amusants et le lecteur finalement est appelé à se moquer (sauf pour l’âne) de la naïveté de la victime aux dépens de laquelle il s’amuse. - sens : il y a donc une certaine immoralité de ces histoires puisque

1862 Notre-Dame de Paris, 1831 Les Travailleurs de la mer, 1866 Poésie : Les Contemplations, 1856 La Légende des siècles, 1859 Les Châtiments, 1853 Théatre : Hernani, 1830 Ruy Blas, 1838 Signature Signature de Victor Hugo modifier Consultez la documentation du modèle Victor Hugo Fonctions Sénateur de la Seine1 30 janvier 1876 – 22 mai 1885 Élection 30 janvier 1876 Réélection 8 janvier 1882 Groupe politique

divers : Montaigne, Essais, III, 6 « Des coches » ; Rousseau, Emile, IV ; Diderot, Traité du Beau ; Pierre Francastel, Histoire de la peinture . (thème de réflexion, thèse rejetée/défendue, arguments et exemples, indices de la présence du locuteur, registre dominant). Lecture complémentaire à la maison de deux pages d’essais, l’un très violent de Baudelaire, l’autre plus mesuré de Gisèle Freund sur la photographie : reformulation des thèses et repérage des arguments, analyse des procédés polémiques

continue du ton –l’ironie railleuse de Notre-Dame de Paris. Plusieurs des expansion lyriques caractéristiques du drame hugolien en relèvent aussi : tirades d’Hernani effrayant dona Sol au premier acte, de Ruy Gomez devant les portraits, monologue de Don Carlos au tombeau de Charlemagne, de Ruy Blas invoquant Charles-Quint. Mais presque rien ne distingue ces méditations de celles du voyageur, incapable de voir monument ou paysage sans remémoration rêveuse du passé dont ils gardent la trace, entraîné

célèbre Misanthrope de Molière ne dénonce-t-il pas le rire mal employé? Sujet : Ainsi, nous pouvons nous demander si les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent qu’à faire rire. Il est nécessaire, ici, de distinguer la comédie du registre comique, les dissensions entre ces deux aspects qu’on pouvait croire inséparables étant porteuses de sens. Annonce des axes : I- Les aspects comiques d’une pièce font rire (quels sont-ils? pourquoi font-ils rire?...) II- Le rire