Relation Soignant Soigné Schizophrène

1 « Il s’agit d’un travail personnel et il ne peut faire l’objet d’une publication en tout ou partie sans l’accord de son auteur » 2 REMERCIEMENTS Ce travail d’une seule personne est cependant la finalité de la participation des soignants, des collègues, de la famille… Chacun avec leur possibilité, leur connaissance, leur disponibilité… Je tiens donc à remercier mon directeur de mémoire qui a toujours été présent et répondu à mes interrogations, mes inquiétudes. Je tiens à remercier

…………………………………………………………………..3 a. Définition………………………………………………………………………..3 b. Signes cliniques…………………………………………………………………5 c. Forme de début de la schizophrénie…………………………………………….8 d. Période d’état…………………………………………………………………..10 3. Le corps du schizophrène………………………………………………………….11 a. Définition de l’image corporelle………………………………………………12 b. Du schéma corporel à l’image du corps……………………………………….12 c. Symptômes de la schizophrénie relevant d’un trouble de l’image ou de la perception

psychiatrie. De ce fait, il s'inscrit à l'internat en psychiatrie à Saint-Anne. Il publie une tribune dans le journal Le Monde le 11 janvier 2005 pour dénoncer l'état de la psychiatrie en France, après le meurtre des infirmières paloises par un schizophrène. Spécialiste de la schizophrénie, dorénavant il passe ses jours à écouter, à sonder les esprits humains les plus inaccessibles, à diagnostiquer leurs maux, à mettre au point des médicaments qui redonnent sinon le goût de vivre, du

psychiatrie………………………………………………………………………………………………………………………….…10 1) Le soin en psychiatrie………………………………………………………………………………………………………… ... 10 2) Le rôle de l’infirmière en psychiatrie…………………………………………………………………………………….…11 3) Service long séjour…………………………………………………………………………………………………….…….…….12 I. La relation thérapeutique…………………………………………………………………………………………………………. 14 1) Ethique du soin……………………………………………………………………………………………………………………….15 2) Le coping………………………………………………………………………………………………………………………………..16 I. Le refus de soins …………………………………………………………………………………………………………………

psychiatrie du secteur de Saint-Etienne. Il est présenté comme étant une personne désinhibée et schizophrène avec un virage maniaque. Celui-ci est également sevré pour une addiction à la cocaïne et prends pour cela un traitement de substitution : le SULBUTEX ®. Au début de son admission au sein de l’unité, il est de bon contact malgré ses tendances à être dans la séduction et la manipulation des soignants. Il respect son cadre de soins thérapeutique, qui est le suivant : Sortie autorisée dans et en

réduction du nombre de lits, de la durée des hospitalisations, nous avons fait le projet, il y a quatre ans, d’une unité pour des patients dits « chroniques ». Le psychotique nous tient à distance, se mettant ainsi à l’abri de tout investissement de relation. Les unités d’entrants, de par leur fonctionnement, mettent certains patients parmi les plus invalidés par la psychose, à l’écart, alors que le patient est déjà lui-même en retrait, allant ainsi dans le sens de la maladie. Cette mise à l’écart est

pas eu de difficultés particulières. Mise à part 2 prises en soins qui m'ont posées quelques questions. En effet, au début du stage, je me suis occupée d'un jeune patient de 20 ans atteint de schizophrénie. J'ai vite été en difficulté sur la relation que j'ai pu avoir avec lui. En effet, celui-ci ne me considérait pas comme une étudiante du fait qu'on ait le même âge. J'avais du mal à mettre une certaine limite en tant que future professionnelle de santé. Mr F me disait «salut» et me tutoyait

des questions) au domicile du patient.De plus, ce n'est pas évident de se faire agresser au téléphone quand on est chez d'autre patient et d'aller chez Mr X en connaissant son agressivité.En effet, le domicile des patients est un lieu privé et les soignants doivent s’adapter au domicile afin de réaliser les soins dans les meilleures conditions possibles.Cette situation peut engendrer plusieurs conséquences si cela devait se

Environs 48 millions de personnes de plus de 18 ans souffrent de la schizophrénie dans le monde  L’apparition de la maladie se fait légèrement plus tard chez les femmes que chez les hommes (3-4 ans plus tard) On a également un délire paranoïde de schizophrène : tous les mécanismes peuvent être retrouvés (interprétation, imagination) mais les plus fréquents sont les hallucinations ainsi qu’un automatisme mental. C’est un délire qui est flou, non systématisé, incohérent. Aujourd’hui, on parle de troubles

je nomme le patient Mr J. PRESENTATION DU PATIENT Mr J est un monsieur âgé de 31 ans, adressé en SDRE (soins à la demande d’un représentant de l’état) suite à des troubles graves du comportement (prise d’otages dans une école maternelle) schizophrène dans un contexte axio-délirant, lié à des difficultés socioprofessionnelles et financières. Intervention du GIGN (groupe d’intervention de la gendarmerie) aucune victime .Evaluation d’une potentialité dangereuse. La schizophrénie est une maladie