Relation Soignant Soigné Schizophrène

...... 17 3. Les facteurs influençant ................................................................................................. 18 C. Les éléments rassurants ou déclencheurs de la violence .................................... 18 1. La relation, les interactions relationnelles et les représentations sociales ..... 18 2. La communication............................................................................................................ 20 a. La communication verbale ..........

institutionnelle de l’après guerre. Il propose de créer des « communautés thérapeutiques » ayant pour but de responsabiliser les malades dans leur prise en charge : il s’agit pour lui de leur rendre le pouvoir : il n’y a plus pour lui de soignants et de soignés, et tous, sans distinction, participent à la communauté thérapeutique. II. Dans cet ouvrage, Marcel RUFO débute par une introduction où il nous explique ce qu’était la psychiatrie au départ et ainsi de sa première expérience en 1965, à

1.3 Mme Gannac Psychologie - Relation de soin Premier Chapitre : Les paradoxes dans la relation de soin La relation en rééducation est privilégiée. Elle s’appuie sur des phénomènes contradictoires et des sentiments ambivalents. Premier paradoxe : la rééducation a pour but l’autonomisation et l’indépendance. Or le patient, quand il est hospitalisé, est en état de soumission et de dépendance. On lui demande d’être autonome alors qu’Il est soumis au professionnel. Le patient se retrouve infantiliser

de précision dans le dossier | Avril 2002 | 1 mois et 4 jours | FOA | Parents adoptifs épuisés | 25/09/2003 | 15 jours | HDT au CHS | Décompensation délirante avec épisodes d’agitations et d’agressivité envers les résidents et le personnel soignant | 11/02/2004 | 3 semaines | cHS | Recrudescence des troubles du comportement (agitation psychomotrice, gestes auto agressifs et hétéro agressifs) | 29/03/2004 | 1 mois | CHS | Recrudescence des troubles du comportement à type d’agitation et

la fin du 19e siècle. Si la pensée de la folie semble avoir toujours existé, celle des institutions est d’apparition bien plus récente, et toujours menacée de disparition. La remise en cause du pouvoir médical, de l’asymétrie entre soigné et soignant, entre homme « fou » et homme « sain », ou « normal », est rendue très fragile par les réactions défensives induites par la rencontre avec la psychose. Le fou dérange, inquiète. Ses comportements font peur, il est dit violent, impulsif

universitaire 2004 – 2005 Faculté de Médecine de Marseille SOMMAIRE INTRODUCTION Chapitre 1 : soigner en psychiatrie 1.1Définition de la maladie et de la maladie mentale 1.2 Rôle de l’infirmier en psychiatrie 1.3 L’éthique au cœur du soin 1.4 Quand décide-t-on d’hospitaliser ? 1.5 Les modes d’hospitalisation Chapitre 2 : de la folie dans la société jusque dans la famille : que demande-t-on au soignant ? 2.1 Un peu d’histoire… 2.2 L’homme et la folie 2.3 Pouvoir et travail de l’idéal 2.4 Que demande-t-on

relationnels et les temps informels Le cadre de soins II. Cadre théorique 1.La distance relationnelle 1.1. 1.2. Relation soignant-soigné: relation thérapeutique et rencontre interpersonnelle la « juste distance » 19 19 21 22 23 24 25 27 29 29 31 32 33 35-37 38-68 2. La gestion des émotions 2.1. L’empathie 2.2. Les transferts 2.3. L’attachement et l’érotisation dans la relation de soin 2.4. L’analyse de l’infirmière (introspection) et de sa pratique professionnelle 3. Le positionnement professionnel

plus, il n'y a pas eu un mais deux regroupements de chercheurs : Le premier temps est celui des fondateurs : Bateson et Jackson. Bateson, qui reste le plus connu encore aujourd’hui, sera le premier à adapter l’approche systémique à l’étude des relations humaines, en s’aidant de son imprégnation du terrain qui lui vient de ses travaux antérieurs d’ethnologue. Cette approche neuve avait aussi pour mérite de changer l’angle classique : dans un système, c’est toute la structure de l’organisation qui

accompli qui joue du violon, de la trompette, des percussions et de la guitare. En 1974, il fait la connaissance d'Adam Shelton, un enfant autiste. Cette rencontre sera décisive pour lui puisqu’il consacrera ensuite sa vie à essayer de comprendre et soigner l’autisme en tant que psychologue puisqu’il décrochera un doctorat de psychologie clinique en 1986. Il s'installe à Paris et en 1996 et crée le Centre Adam Shelton en Seine-Saint-Denis qui accueil des enfants autistes. Il y travail en tant que psychologue

cette pathologie. Toutefois, on peut voir que bien avant l’entrée proprement dite, il existe une phase de latence, c'est-à-dire avant l’apparition des premiers vrais symptômes pré- schizophrénie, dite pré morbide qui ne se voit que chez les futur schizophrènes. Nous allons donc maintenant voir, la phase pré-morbide et les deux sortes d’entrées. A) La période prodromique aspécifique (pré-morbide) Cette phase se passe sur des semaines, des mois, c’est très progressif. Généralement, les premiers