Sentier

Les Sentiers de la gloire 1. La peinture C. R. W. Nevinson, Paths of Glory (Les sentiers de la gloire), 1917, huile sur toile, 45,7 x 61 cm, Imperial War Museum, Londres. ( Lien pour découvrir ce tableau avec le zoom ainsi que d’autres œuvres ) Parce que Nevinson eut l'audace de peindre deux cadavres de Tommies (surnom des soldats anglais) devant les barbelés, la toile fut interdite d'exposition en 1918. Nevinson refusa de la décrocher et la dissimula derrière un papier brun, sur lequel il écrivit

la société et des élites comme dans Wall Street (avec Charlie Sheen et Michael Douglas) où il critique la caste des traders ou encore Né un 4 juillet où Stone critique le comportement de la société américaine face à ses soldats.... B) Les Sentiers de la gloire, 1957 Réalisation : Stanley Kubrick Scenario: Stanley Kubrick, Carter Willingham et Jim Thompson d’après le roman de Humphrey Coob Production: Kirk Douglas, James B. Harris et Stanley Kubrick Directeur de photographie : Georg

Grille d’étude du film « Les sentiers de la gloire» 1. Présenter l’œuvre Nature de l’œuvre : Film Titre de l’œuvre : « Paths of Glory» / « Les sentiers de la gloire» titre français Auteur/réalisateur :Stanley Kubrick (américain d’origine allemande 1928-1999) Date de sortie : 1957 USA / 1972France Genre :guerre / drame Autres informations (technique utilisée, lieu où l’on peut admirer l’œuvre, etc.) : Noir et blanc / USA / 1h26 / disponible en DVD chez MGM 2. Situer l’œuvre dans

lesfloralies internationales de Montréal, évoluent et embellissent d'année en année. Il s'agit de 12 âcres de terrain comblés d'un dizaine de milliers de fleures annuelles combinées avec un nombre abondant de vivaces, arbres et arbustes. 1.5 kilomètres de sentiers pédestres s'étalent le long de ce jardin pittoresque. Ce n'est pas tout, dessous les ponts Rialto, de la Madone ou des Soupirs, les pédalos acueillent les amoureux et les amis pour une petit périple inoubliable à chaque année à la fin du mois de

tirent " qui fait que personne ne sait réellement si ce sont eux ou ceux d'en face qui attaquent et la désinvolture des officiers "sauf les gradés " (ligne 11). Comment ne pas rapprocher cet extrait du livre "Le Feu " d'un passage du film " Les sentiers de la Gloire " (Stanley Kubrick) où la misère et l'atrocité de la guerre et de ceux qui la dirigent ne peuvent détruire l'humanité. Ce passage se situe tout à fait à la fin du film quand les soldats reprennent en chœur une chanson après avoir conspué

L’Ultime Razzia, Les Sentiers de la Gloire, Spartacus, Lolita, Docteur Folamour, 2001 : L’Odyssée de l’Espace, Orange Mécanique, Barry Lyndon, Shining, Full Metal Jacket et Eyes Wide Shut. Il a essayé tous les genres cinématographiques : la comédie (Docteur Folamour), la comédie dramatique (L’Ultime Razzia, Lolita), le drame psychologique (Orange Mécanique, Barry Lyndon, Eyes Wide Shut), le film historique (Barry Lyndon), le film de guerre (Full Metal Jacket, les Sentiers de la Gloire, Docteur Folamour)

Epreuve Histoire des arts Année scolaire 2013/2014 Collège des deux Sarres - LORQUIN Paths of Glory (Les sentiers de la gloire) 1917 de C. R. W. Nevinson (1889-1946) Domaine : Arts, états et pouvoir Thématique : Arts du visuel 1 Sommaire I- Introduction ___________________________________________P II- Biographie de l’auteur et interprétation de l’œuvre __________P III- Contexte

». Quand on présenta un uniforme a des vétérans soldats atteint d’obusite, ils furent soudainement pris d’une crise de peur. Ou quand on dit à un vétéran le mot « obus », immédiatement, il se cacha sous un lit. Dans le film « Paths Of Glory (Les Sentiers de la Gloire)» de Stanley Kubrick, un officier visite les tranchées françaises avant une attaque. Durant sa visite, il rencontre un homme qui est victime de l’obusite. L’homme a un regard vague et distant. Quand l’officier lui demande s’il est marié

En France, officiellement, la censure a frappé relativement peu de films, surtout durant la seconde moitié du XXe siècle : Les Sentiers de la gloire (Paths of Glory, 1957) de Stanley Kubrick, Le Franc-tireur (1972) de Jean-Max Causse, 1974, une partie de campagne (1974) de Raymond Depardon, ou la quasi-totalité de la filmographie de René Vautier… On suppose que Les Sentiers de la gloire et Le Franc-tireur ont été censurés à la demande des anciens combattants314. Mais au-delà de cette censure d’État

guerre de paysans et de petits artisans, côté français comme côté allemand. Bien sûr, j'avais aussi été marqué par certains films, comme Verdun, visions d'histoire, de Léon Poirier, ou L'Equipage, d'Anatole Litvak. J'ai un peu plus de mal avec Les Sentiers de la gloire, de Kubrick, le film emblématique sur la guerre, peut-être parce que j'ai du mal à croire à Kirk Douglas en colonel français... »