Sentiment

le texte suscite le suspense. De plus, ces scènes d'exposition nous montre plusieurs sentiments différent. Ainsi, dans Antigone nous observons un sentiment de détermination à la L28 « Je veux, de mes mains, enlever le corps ». En revanche dans Hippolyte nous ressentons aussi de la détermination à la L17-18 « J'ai dès longtemps préparé ma vengeance, il m'en coûtera peu pour l'accomplir » mais aussi un sentiment de résolution c'est à dire de revenir dans le droit chemin L37-39 « Car je ne puis préférer

philosophique. Sans susciter de débat, plusieurs personnes sont parvenues à expliquer différemment et à leur manière ce qu'est la conscience. La civilisation a donc décidé de retenir une définition succincte de la conscience, la présentant comme un sentiment, un perception, une connaissance plus ou moins claire que l'être humain a de lui même, de sa propre existence, ainsi que du monde extérieur. Cependant , certaines questions requièrent une réflexion plus profonde et subsistent …:"Suis-je ce que j'ai

Certains s'en rendent compte, d'autres non. C'est dommage pour eux, car ils pourraient vivre des moments tellement beaux et forts. Encore faudrait il que ça soit partager. Ce dont je vous parle là se constitue de plusieurs choix, plusieurs situations, sentiments affirmatifs et négatifs. Les affirmatifs : La plus part disent que c'est merveilleux, ton corps a envie de cette personne, constamment, ton coeur alors, bats plus vite qu'il ne le devrait. Il te fait ressentir ce que tu ne peux pas expliquer

à l’expression de deux conceptions du bonheur, Rousseau expose –t-il les éléments constitutifs de celle à laquelle il adhère ? A) Ce que l’homme appelle bonheur, un état « fugitif » et incomplet. 1) Un mouvement perpétuel qui empêche le sentiment de constance. Le champ lexical de la précarité de toutes choses au monde « flux continuel » (l.1), « changent » (l.3) « rien de solide » (l.5), « qui passe »(l.6), « état fugitif »(l.9), « pauvre et relatif » (l.19) qui montre que le « bonheur »

En 1677, il fut nommé ambassadeur à la cour ottomane. Résumé : Lettre I : Dans la première lettre, nous apprenons que Marianne qui est une religieuse portugaise écrit une lettre qu’elle adresse à son amant. Elle éprouve encore de nombreux sentiment pour lui tandis que ce dernier est reparti en France car il y est militaire. Elle lui en veut d’être parti mais lui jure quand même de l’aimer pour toujours. Marianne aimerait le rejoindre mais étant au couvent, elle ne peut. Elle lui prouve donc

ce qui me guide. Ainsi, il s’agirait d’un sentiment intime qui me dit ce que je dois faire ou ce que je ne dois pas faire. Ici, vous pouvez penser aux analyses de Rousseau lorsqu’il nous dit dans l’Emile que la conscience est ce juge « infaillible du bien et du mal ». Pourtant, il s’agit ici d’un sentiment. Or, ce sentiment ne peut-il pas me tromper ? Suffit-il d’avoir bonne conscience pour être innocent ? Vous pouvez alors vous demander si le sentiment suffit à fonder la morale et si cette dernière

liaisons dangereuses de Laclos, publiées en 1732, est un roman épistolaire. L’œuvre adaptée au cinéma par Frears en 1988, donne une vision des personnages fidèle et en même temps décalée. L’adaptation de Frears met en évidence, la modernité des sentiments tout en respectant le siècle. Le vicomte de Valmont, libertin cynique et calculateur, est joué par John Malkovich, un acteur remarqué par ses expressions visibles ou cachées, alors John Malkovich est-il fidèle ou contraire au personnage du Vicomte

L’automne Alphonse de Lamartine Commentaire composé Dans un de ses poèmes, Alphonse de Lamartine, poète romantique du XIXème siècle, évoque ses sentiments. Nous nous demanderons comment la nature, ici en particulier L’automne, permet à un écrivain romantique d’exprimer ce qu’il ressent. Pour cela, après avoir montré que le poète souffre du mal du siècle, nous verrons que le paysage est ici considéré comme un "paysage état d’âme". Le mal du siècle des écrivains romantiques et de toute une

sable, elle écrivait sur l'onde, Afin que ses serments ne l'obligeassent pas. - Pierre de Marbeuf – Recueil de vers – 1628 Pierre de Marbeuf [1596-1645] : poète auteur d’un Recueil de vers (1628) inspiré à la fois par la nature, l’amour et le sentiment de la fragilité du monde. Ses thèmes sont parfois proches de ceux de Ronsard. Remarqué par la simplicité de la syntaxe et du vocabulaire ; sa poésie lyrique chante la Normandie, les forêts, les eaux, l’amour ; satirique parfois ; peintre des apparitions

Montpensier, un homme avec qui elle n’a aucune affinité, car il est d’un statut social plus avantageux. En même temps ce marriage l’enlève des bras d’un homme qu’elle trouve dangereusement irrésistible. La princesse à aussi la responsabilité de cacher ses sentiments pour Le Duc de Guise quand elle le rencontre de nouveau à la cours pour évité de déshonnorer son mariage ainsi que son mari. Le comte de Charbannes doit lui aussi oublier sa passion pour la jeune princesse au nom de ses devoirs d’amis envers le