Serge Gainsbourg

« Brigitte a des pleins et des déliés. Elle peut être pathétique et caustique, nostalgique, malicieuse, acidulée, poivrée… Toute la gamme de la femme. Et jamais un milligramme de vulgarité. » Disait Serge Gainsbourg et c’est ainsi, que pour la première fois, une exposition française d’une telle ampleur a tenté de décrypter à son tour l’icône glamour d’une génération. A l’occasion du soixante-quinzième anniversaire de l’égérie française est présentée à l’espace Landowski, du Musée des années 30

réel. En effet, il y a le mot Java dedans! La danse. D'ailleurs le refrain interne de chaque couplet reprend ce thème de la danse: «Ne vous déplaise/ En dansant la Javanaise». Seulement, la danse de la «javanaise» n'existe pas. Par contre, Gainsbourg dira dans une de ses interviews qu'il avait ainsi titré sa chanson parce qu'il y parle «javanais» => mon interprétation: Il s'agit là d'un texte basé sur la consonne v que nous retrouvons en abondance. Il y a, c'est vrai, une allitération consonantique

des morceaux d’hymnes (la Marseillaise et l’Internationale) et d’autres objets sonores : des conversations, des passages de mélodies. Version reggae : Aux armes et caetera, Serge Gainsbourg (1979). Cette version provocatrice est parlée par Gainsbourg (les couplets). Le refrain se limite à « Aux armes et caetera » (Gainsbourg expliquera que c’est ainsi que la Marseillaise est définie dans le dictionnaire). Il est chanté par un chœur de femmes. Version Musique du monde : Al marseillaise, Henri Agnel

international qui circule sur la capitale française, cliché majoritairement véhiculé par les marques de luxe françaises. On peut également voir que le décor est un luxueux appartement. Pour ce nouveau spot, Coppola choisit deux artistes français, Serge Gainsbourg et Jane Birkin où la chanson « Je t’aime, moi non plus » montre un couple amoureux. En effet, la nouvelle égérie a une relation avec un homme, relation pleine de passion et de fougue des deux cotés (l’homme retient Natalie Portman sur le lit

en 1981, avec son album très rock Pizza, qui lui permet, grâce au titre Vertige de l'amour, d'entamer une tournée dans de grandes salles, notamment à l'Olympia à Paris. Mais il se brouille avec Boris Bergman. En 1982, Bashung collabore avec Serge Gainsbourg pour l'album Play blessures. Ce disque est une rupture voulue, après le succès énorme et inattendu de Gaby, dont il semble vouloir se démarquer . Un disque sombre, torturé, difficile d'accès, et qui sera finalement un échec commercial et critique

cependant : On apprend plus d’une nouvelle En dix ans. Quand ce temps viendra, d’un amant Je serai le parfait modèle, Trop bête pour être inconstant, Et trop laid pour être infidèle. Mais vous serez encor trop belle Alfred de Musset Serge GAINSBOURG : Des Laids, des Laids Quand on m'dit que je suis moche, J'me marre doucement, pour pas te reveiller, Tu es ma petite Marylin, moi je suis ton Miler, Hein, non pas Arthur, plutot Henry specialiste de hardcord. La beauté cachée des laids

monde des ados et des jeunes femmes intercalés entre les deux seuls mondes existant précédemment : celui des enfants et celui des adultes. Serge Gainsbourg écrit « Brigitte a des pleins et des déliés. Elle peut être pathétique et caustique, nostalgique, acidulée, poivrée… toute la gamme de la femme ». Belle et libre, rêve impossible des hommes, muse des adolescentes et des jeunes femmes, « propriété

Rose Repetto, mère du danseur et chorégraphe Roland Petit, la marque déclinait depuis le décès de sa fondatrice en 1984. Oubliées les images glamour d'une Brigitte Bardot portant les fameuses ballerines dans le film "Et Dieu créa la femme" et d'un Gainsbourg chaussant le modèle homme à lacets baptisé "Zizi".    Jean-Marc Gaucher, à l'origine du renouveau de Repetto. © photos: F. Beloncle Dès 2000, Jean-Marc Gaucher internationalise la marque et se place sur le créneau du luxe. Idée de génie, il

artistes présents sur la photo sont, de haut en bas et de gauche à droite: * Sylvie Vartan, Johnny Hallyday, Jean-Jacques Debout, Hugues Aufray, Catherine Ribeiro, Eddy Mitchell, Danyel Gérard, Claude Ciari des Champions * France Gall, Serge Gainsbourg, Frankie Jordan, Michèle Torr, Sheila, Chantal Goya, Dany Logan * Michel Paje, Ronnie Bird, Monty, Sophie, Noël Deschamps, Jacky Moulière, Annie Philippe, Claude François, Eileen, Guy Mardel, Billy Bridge * Michel Berger, Michel Laurent

très douce et faible de la chanteuse. L'auditeur se sent comme des intrus dérangeant le couple dans un moment intime. Ecoute du Serpent repris par Serge Gainsbourg Serge Gainsbourg reprend le poème de Baudelaire « le serpent qui danse » sous le titre de « Baudelaire ».Le poème fut écrit pour Jeanne Duval, La venus noire de Baudelaire. Gainsbourg par ses choix musicaux respecte l'intention du poète en composant une chanson très sensuel presque érotique. La musique évoque le voyage et les pays d'Amérique