Silence

Parler du silence n’est guère possible qu’à celui qui s’est fait serviteur du silence et prendre la parole pour décrire la silence peut sembler paradoxal car le mot « silence » est tiré du latin « Silentium » mot de la famille de « silère » qui signifie « se taire ». Le silence oblige à la réflexion, à la méditation, un outil indispensable au travail intérieur, et à la connaissance de soi. La particularité de l’Homme actuel est qu’il possède une pensée personnelle. Elle est personnelle car

Le SILENCE Pour cette planche, dont le sujet est le silence, j’ai été tenté de compiler le travail effectué par notre regretté F :. Pierre Dac, qui ayant à traiter ce sujet, s’est assis à l’orient, a salué le VM et ses F. : et, après avoir annoncé son sujet, a croisé les bras et a observé un silence absolu, silence rompu au bout de 30 mn par un tonitruant  «  Je n’ai pas dit, VM ». Et l’Orateur a regagné sa colonne. Evidemment, n’est pas Pierre Dac qui veut et je me garderai bien de l’imiter

LE SILENCE A la gloire du grand architecte de l’univers, Vénérable maitre et vous tous mes frères en vos grades et qualités. Je vais vous présenter ce midi mon second travail dont le sujet choisi attribué par notre frère second surveillant est Le Silence, sujet choisi selon lui suite aux difficultés à en « placer une » pendant nos conversations. Introduction : Le Silence étymologiquement provient du latin ‘Silentium’ il apparait dans notre langue au XII siècle, Notre ancienne langue employait à la

le silence vaut mieux que la parole inutile ! Le silence est, dans son sens originel, l'état de la personne qui s'abstient de parler. Dans son sens actuellement le plus courant, c'est l'absence de bruit, c'est-à-dire de sons indésirables. Le silence absolu est l'absence de tout son audible. Par extension, le silence désigne aussi l'absence de l'expression par écrit. Le bruit s'associant au désordre et à l'agitation, le silence s'associe à l'inverse au calme et à la tranquillité. En solfège

Le silence Introduction Définition du silence, extraite du dictionnaire culturel en langue française(Le Robert), on trouve dans un premier temps, un certain nombre de définitions du silence comme absence d’expression, de langage, et dans un second temps des définitions du silence comme l’absence de son , de bruit, d’agitation. De ces définitions, nous pouvons tirer deux remarques : La première, le silence dans les deux cas, se définit par l’absence de quelque chose et non par la présence. Il

Vénérable maitre mes sœurs mes frères en vos grades et qualités J’ai choisi de vous parler du silence, car il y a beaucoup à dire.il y en a tellement que sur le coup j’ai même songé à vous proposer un quart d’heure de silence, et ensuite nous aurions pu discuter de nos réflexions pendant ce silence. Nous aurions pu partager nos sentiments .A quoi avez-vous pensez ?, vous êtes vous ennuyés ?, avez-vous observé les attitudes de vos sœurs et de vos frères ? Mais après réflexion il m’a semblé que

Frères LE SILENCE Ma première idée, VM, était de me taire car cette absence de sons choisie délibérément aurait résumé mon travail en quelques instants tant le silence est fort, moi qui suis au silence forcé depuis deux ans. Vous me donnez la parole, j’en userai sans j’espère en abuser car parler du silence c’est déjà en faire grand bruit puisque le silence en ne disant rien dit tout J’aborderai dans un premier temps le silence dans le monde profane puis le silence vu et vécu par la

Le Silence Si nous prenons la définition du dictionnaire, le silence c’est l’absence du bruit, ou plus précisément le manque de bruits ambiants. En terme de musique le silence représente déjà de la musique puisqu’il se dit de certains signes répondant aux diverses valeurs des notes, et qui, mis à la place de ces notes, marquent que tout le temps de la valeur doit être passé en silence. On observe alors le silence. A cela, nous pouvons ajouter différente expression du langage courant reprenant

souhaité vous parler plutôt du Silence, j’aurais us en parler sans lire mon papier mais je n’ai pas osé. Le silence me concerne tout particulièrement en effet un mois avant mon initiation, ma fille de 13 ans m’offrait, hasard ou étonnante perspicacité de sa part, un galet où était gravé en lettre d’or le mot «SILENCE ». Ce cadeau tout simple me montrait ce que je devais travailler d’urgence et ce travail je l’ai commencé grâce à vous. J’ai observé des deux formes de silences : Celui que l’on peut définir

LE SILENCE Il est à l’origine et la finalité de toute parole. Si bien que la meilleure philosophie s’efforce de garder le silence, plutôt que de le remplir de vérités criantes. Le silence n'est pas l'absence de bruit, mais l'absence de parole, le retour à l'immédiat, le clairon de la matière. D'ailleurs, lorsqu'on tend l'oreille, on ferme les yeux, comme si, du tonnerre aux pépiements, tous les concerts du silence exigeaient implicitement d'être entendus pour eux-mêmes, séparément des objets