Soe Win

généraux occasionne des migrations massives vers la Thaïlande. Le 19 octobre 2004, le Premier ministre, le général Khin Nyunt a été mis à l'écart et autorisé à prendre sa retraite pour raisons de santé et assigné à résidence. Il a été remplacé par Soe Win, un «dur» tenu pour responsable de l’embuscade contre le convoi d’Aung San Suu Kyi en mai 2003. Khin Nyunt a accédé au poste de premier ministre en août 2003, il supervisait les services secrets birmans depuis plus de vingt ans. Il avait signé les

militaires depuis son indépendance en 1962 . Le régime a été dominé de 1962 a 1988 par Ne Win qui a occupé successivement les postes de premier ministre, chef de l'état et chef du parti unique de l’époque (Parti du Programme Socialiste Birman) . En 1988 se sont déroulées un ensemble de manifestations pacifiques visant à l’établissement de la démocratie, qui ont débouchées sur la démission du général Ne Win . Suite à ces manifestations, la junte militaire birmane s'est emparée du pouvoir grâce à

la Birmanie à l’Empire des Indes. 1942 : invasion japonaise. 1948 : l'indépendance est accordée. 1948-1962 : U.Nu, Premier ministre de l’Union Birmane, est confronté à la guerre civile. déclenchée par les communistes. 1962-1983 : le général Ne Win, maître absolu du pays, met en place un parti unique et engage le pays dans le socialisme. Il a fort à faire avec les rébellions ethniques et religieuses. 1989 : le pays prends le nom de Union of Mynamar alors que l’opposition au régime s’amplifie

juillet de cette même année qu’il sera victime d’un assassinat au même titre que six de ses associés. Ce n’est que quelques mois plus tard, le 4 janvier 1948, que la Birmanie sera proclamée libre de toute tutelle britannique. Cependant, le général Ne Win, leader du parti socialiste, provoqua un coup d’état militaire le 2 mars 1962 qui a eu pour conséquence de le mener à la tête du pays et d’instaurer sa dictature pendant 25 ans. Il créa alors la Voix birmane vers le socialisme et devint leader de

vie d’Aung San Suu Kyi liée à l’histoire de la Birmanie (1988 - ) Aung San Suu Kyi retourne dans une Birmanie troublée de révoltes civiles et de manifestations du peuple visant la démission du dictateur militaire, le Général Ne Win. Le 23 juillet 1988, le Général Ne Win cède aux demandes du peuple et démissionne. Mais les protestations ne s’arrêtent pas et lors d’interactions violentes du militaire, 3000 civiles connaissent la mort en moins de six semaines. Sa lutte pacifique est inspirée par l’héritage

ethniques nationaux. Fin 1948, après un conflit entre militaires rivaux, Ne Win fut nommé second de la hiérarchie militaire et son rival Bo Zeya, un communiste ancien membre des trente camarades, entraîna une partie de l'armée dans la rébellion. Avec l'accord d'U Nu, Ne Win lança immédiatement une politique de création sous son autorité parsonnelle de bataillons d'une milice socialiste appelée 'Sitwundan'. le 2 mars 1962, Ne Win renverse le gouvernement élu grâce à un coup d'État. Il prend la tête du

devient une république indépendante. Une constitution pluraliste et démocratique permet un court intermède démocratique. Le pays se développe comme ses pays voisins, mais ce pouvoir du peuple irrite le pouvoir militaire et en 1962 (2 mars) le Général Ne Win prend le pouvoir par la force, à la tête de la junte militaire. Il annule la constitution et instaure « la voie birmane du socialisme » qui depuis, isole totalement le pays du reste du monde. Le pays est dirigé par un dictateur militaire.

parce que ces élections constituent aux yeux de la junte, un compromis majeur qu’elle a accepté comme la « moins pire des solutions ». Entre une armée divisée et imprévisible (c’est une faction de l’armée qui avait « démis » le Premier ministre Ne Win en 1988), une société civile urbaine plus nerveuse depuis la « révolution safran » de 2007, et des minorités ethniques (35 % des 56 millions de Birmans se répartissent en une centaine de minorités) moins coopératives, la junte sait qu’elle doit jouer

pouvoir des nationalistes birmans. Lorsque la Birmanie devient indépendante en 1948, les promesses d’autonomie se sont envolées. Certaines minorités comme les Karens entrent alors en rébellion contre le pouvoir central. En 1962, le coup d’état du gal Ne Win instaure un pvr centralisateur fort qui refuse aux minorités le droit à la sécession. Ce coup d’état marque le début de la dictature militaire et génère 2 formes de résistances : La résistance armée des minorités ethniques. En 2009 l’armée birmane

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