Soleil Couchant Conclusion

dans son poème, de nombreuses allusion exotique : '' soleils marins '' (v.2) qui nous fait penser a une région chaude tout en reflétant la chaleur et un terrain large. Il y a une forte dominance des couleurs tel que '' azur '' (v.10) symbole la pureté et de fraîcheur. Il y a aussi la présence de la couleur rougeâtre à travers les '' couleurs du couchant '' (v.8) aux scintillement qui brille de '' mille feux '' (v.2). La couleur du '' couchant '' donne une sensation de chaleur, de joie de vivre et

inutiles. Enfin, le poème entamé du passé qui a avorté, on en vient au présent, puis à la fin du poème, il y a une reprise du premier vers avec des variantes, avec un adverbe qui change et une variante de temps avec le passé simple qui sonne comme une conclusion. Cette fin semblable au début suggère l'idée d'un éternel recommencement. La réalité, telle qu'elle est décrite, constitue un triste tableau parisien. II). Un triste tableau parisien La description que comporte ce poème abonde en termes

entre la femme et le voyage « au pays qui te ressemble » (v.6) qui est explicité à nouveau dans le deuxième sizain aux vers 7 à 12. On la retrouve dans un certain nombre de mots comme « les yeux » (v.11) et « les larmes » (v.12) qui évoquent « les soleils mouillés » au vers 7 d’une contré mystérieuse. Le regard et le paysage exerce donc une même fascination sur l’esprit du poète : « charmes » (v.9), « traîtres » (v.11) et « mysté/ri/eux » (v.10) nous le montre. La diérèse présente sur « mysté/ri/eux »

Koulé n’est rien d’autre qu’une caricature du président Sékou Touré considéré par l’auteur comme un dictateur. En plus, l’on peut noter que la modification de l’espace réel est une spécificité du roman. C’est du reste ce que l’on perçoit dans les soleils des indépendances de l’ivoirien Ahmadou Kourouma, œuvre dans laquelle la Côte d’Ebène au Sud et la République du Nikanai au nord se présentent tous deux comme une représentation symbolique de l’espace ivoirien. Au vu de ces exemples, il apparaît clairement

mouvement. Le poème « Charleroi » (p137) présente au travers de sensations brutales une succession d'images vues du train, et « Malines » (p143) montre un « sahara de prairies » et de « blancs gazons ». Le paysage est perçu à partir du train sous le soleil. La préposition « vers » invite le regard du narrateur à suivre l'indication du peintre. Verlaine est le premier poète français qui ait pu rendre l'impression offerte par un paysage vu d'un train en marche. Au delà de montrer l'impression d'un

l’expérience de l’œuvre Salle 2 – Observer l’œuvre dans ses détails 3 | Ressources en ligne 27 1. Une œuvre, un regard sur les Nymphéas 2. Danse dans les Nymphéas 3. Claude Monet, l’obsession des Nymphéas (dispositif de réalité virtuelle) CONCLUSION 27 Poursuivez votre visite de l’autre côté de la Seine... 29 Claude Monet est aussi au musée d’Orsay. Dossier réalisé par la Direction des Publics des musées d’Orsay et de l’Orangerie En collaboration avec Nathalie Dementiev, professeure-relais

pensées » : 5 e vers • « sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit » : indifférence du poète à tout ce qui se passe autour de lui. • La double négation : « ne, ni » dans les 9e et 10e vers • La métaphore « l’or du soir » figurant le soleil couchant. • « Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées » (7e vers) : attitude d’un homme en proie à un pénible désespoir. • La structure du 7e vers : abondance de virgules rendant le rythme du vers saccadé. • « Triste, et le jour pour moi

Un rais pâle de soleil couchant, touche tout à coup en face de moi le sable gorgé de pluie, je reviens de mon exaltation comme d’un songe, je reprends pied parmi les phénomènes physique. La horde turbulente des nuages s’éloigne dans le ciel calmé et la terre, ayant étanché toutes ses soifs, étale sous mes yeux sa fraîche chair humide, contente jusqu’à la satiété, rechargée de magnétisme, lustrée d’une vie neuve. L’air désencombré des nuées baigne d’une autre eau légère où bondissent les courants

des thèmes fréquents de la poésie. Dans «  Demain dés l'aube  » de Victor Hugo Le poète voyage pour aller sur la tombe de sa fille, ce poème exprime la douleurs de la perte et la solitude. Ou encore dans «  Soleils couchant  » de Paul Verlaine ou il nous décrit un paysage et un soleil couchant, la tristesse et la mélancolie sont exprimé. La poésie permet de se libérer dans les mots et les sons, de rendre et de faire partager, par les rythmes et la musique, la douleur indicible, de faire exister

première strophe : Il y a des éléments identiques entre le ciel de ce pays et les yeux de la femme aimée embuée de larmes ainsi que son regard fascinant: « Au pays qui te ressemble » (v.6) précisé ensuite par des éléments du paysage : « soleil mouillé » (v.7) ; « ciel brouillés » (v.8) et par une analogie avec la lumière du regard « brillant » (v.12) et l’eau des « larmes » (v.12). Le poète établit également une correspondance avec « charme » (v.9) et « mystérieux » (v.10) qui