Spinoza Celui Qui Rend A Chacun Le Sien

Fais ton devoir sinon gare à la sanction ! » est un ordre que subit celui à qui il s’adresse, dès lors qu’il est accompagné d’une menace extérieure, ordre qui vise à inscrire l’action dans le cadre d’une nécessité irrésistible et à supprimer sa liberté de choix de son auteur. Le pouvoir d’agir qu’implique de faire son devoir, sinon de le réussir, est alors la conséquence de la menace et de la peur qu’elle provoque et non de la capacité du sujet à s’engager volontairement à agir parce qu’il sait qu’il

voix [...] juge infaillible du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fais l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions», Émile ou de l’éducation. 7. Hegel (1770-1831) « Les choses de la nature n’existent qu’immédiatement et d’une seule façon, tandis que l’homme, parce qu’il est esprit, a une double existence». Esthétique 8. André LALANDE (1867-1963), « la conscience, c’est l’intuition que l’esprit a de ses actes et de ses états ». Le Vocabulaire technique

A.*.L. *.G. *.D. *.G. *.A. *.D. *.L. *.U. *. Vénérable Maître et Vous Tous MMFF.*. en vos Degrés et Qualités L’heure m’est venue de comprendre les messages que je reçus il y a bientôt sept ans de mon Père et de mon Parrain, alors que je frappais à la Porte du Temple. «N’oublie pas, tu viens en maçonnerie pour ETRE»1. Mon Parrain quant à lui ajoutait « La maçonnerie, c’est ce qui t’apprendra à mourir ». Je n’avais alors pas le moyen de comprendre le rapport entre ces deux assertions. Disaient-ils

(Pierre-François Moreau) LES ENJEUX POLITIQUES DU JUSNATURALISME MODERNE (Simone Goyard-Fabre) DIDEROT : article AUTORITE POLITIQUE Le jusnaturalisme affirme la supériorité du droit naturel sur le droit positif. Cette supériorité a été soutenue par trois formes typiques du droit naturel : scolastique, rationnelle moderne et hobbesienne. Pour la scolastique thomiste, le droit naturel est un ensemble de principes éthiques premiers et généraux. Un petit nombre de normes qui ont

sujet puisse avoir une distance à l’égard de l’objet. (admettre la nécessité présuppose que le sujet puisse en être distinct). Critique de Ryle : croire qu’il existe des états mentaux c’est faire une erreur de catégorie : les concepts mentaux n’appartiennent pas à la catégorie des substances mais à celle des propriétés des substances. Ex. université, états mentaux. ● ● ● Les libertés La question du libre arbitre ● L’approche déterministe de Spinoza – La nature est déterminée.

1) L’absence du concept de conscience chez les Grecs : Les Grecs n’avaient pas de terme pour désigner la conscience bien que peu à peu (notamment avec les stoïciens), l’idée d’un souci de soi, d’une attention portée à l’intériorité ait pris de plus en plus d’importance. 2) La conscience comme conscience morale : La conscience fut tout d’abord entendue comme norme du bien et du mal, comme instance de jugement. Elle est voix intérieure. Cette première conception est restée prégnante dans toute l’histoire

Cette connaissance peut avoir des niveau de clarté, du sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme une reprise à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi clair que la distinction que nous faisons communément entre une conscience du monde, comme attention ou sensibilité à ce qui se passe en dehors de nous, et une conscience de soi ou conscience réflexive, comme état intérieur ou sentiment de notre existence, n’est pas réellement

L'argument consid re ensuite qu'exister r ellement, in re, et exister en pens e, in intellectu, sont deux choses di rentes au moins a priori 1  et que donc c'est tre plus parfait ou plus grand d'exister r ellement plut t que dans l'id e. Ce degr suppl mentaire 2 de grandeur ou de perfection se trouve n cessairement chez l' tre le plus grand ou le plus parfait ou chez celui tel qu'on ne puisse concevoir plus grand ou plus parfait. Il s'ensuit que cet tre, Dieu, poss de l'existence, qu'il existe bien

tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur la liberté » (1938) Qu'est-ce donc que la liberté ? Demandons à un jeune : « Qu’est-ce que la liberté ? – Faire ce que je veux. – Et qu’est-ce que vous voulez ? – Être libre. » A première vue, la liberté consiste donc à pouvoir faire ce qu'on veut. C'est la liberté d'agir. Hobbes a défini ainsi la liberté : Le mot LIBERTÉ désigne proprement l’absence d’opposition (par opposition, j’entends les obstacles au extérieurs

..................................................... 15 1. Liberté et indépendance ...................................................... 18 La liberté ou la mort .................................................................. 18 La liberté à l’œuvre .................................................................... 19 Texte 1 : La liberté du vide, F. Hegel (1770-1831) ..................... 21 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 22 Texte 2 :