Théophile-Jules Pelouze

établissement comme maître d'études ; ils nouèrent une amitié qui devait durer jusqu'à la mort[2]. En effet, c'est à la Faculté des sciences de Paris qu'il entra par la suite. Il commença vraiment ses recherches dans le laboratoire privé de Théophile-Jules Pelouze, où il pouvait expérimenter à sa guise. Il entra au Collège de France comme préparateur d'Antoine-Jérôme Balard, son ancien maître, en 1851. Comme plusieurs autres chimistes de son temps, Berthelot commença ses recherches sur des composés

émeutes du mois précédent qui avaient empêché Caroline Flaubert d’aller au théâtre. Achille-Cléophas Flaubert ne prend pas de vacances, car il ne veut pas être remplacé par le Docteur Leudet. Visite d’Alfred Nion. Flaubert lit un article biographique de Jules Janin sur Sade. Il demande à Ernest Chevalier de lui trouver « quelques-uns des romans de cet honnête écrivain ». Barbès est gracié par Louis-Philippe : « Voilà deux paillasses, un qui joue l’héroïsme, l’autre la clémence ». Flaubert, qui s’ennuie

(1866) ; - Bernhard (E.) et C ie , marchands de café en gros à Levallois-Perret (1890) ; - Berraud (Jean-Pierre) et Charpnel (Camille), ouvriers mineurs originaires de la Drôme : demande d’emploi au canal de Suez (1865) ; - Bertrand (Jules), agent immobilier à Paris (1882) ; - Beuchot (Constant), de Paris : application de la vapeur à la navigation fluviale (1873) ; - Beurmann (de), ancien officier du génie en Prusse : offre de services en Abyssinie (1860) ; - Biaggini