Théorie Du Choix Intertemporel

traduisait par un gain pour tous les échangistes. Pour eux (et pour MARX aussi), le commerce extérieur est un facteur de productivité. Ils ont élaborés les théories classiques du commerce international. Adam Smith est l'auteur de la théorie des avantages absolus. Trente ans plus tard, David Ricardo mettra en évidence l'importance des coûts relatifs. La théorie des avantages relatifs ou avantages comparatifs a remis en cause les préceptes formulés par Adam Smith. Les possibilités de production des divers pays

totale 33 III. Les méthodes d'aide à la décision 34 A. Principe de l'actualisation 34 B. Principe de l'analyse coûts-avantages 35 1. Valeur actuelle nette 35 2. Taux de rendement ou taux de rentabilité interne 36 3. Choix du taux d'actualisation 36 4. Les autres méthodes d'aide à la décision 37 5. Les critiques adressées à l'analyse coûts-avantages 37 IV. Présentations des instruments d'intervention 38 A. Les instruments réglementaires 39

introduit par Layard-NickellJackman(1991) et approfondi récemment par Cahuc-Zylberberg(1999), constitue une référence pour fonder un taux de chômage d’équilibre. Nous en donnons ici une présentation systématique. Nous mettons l’accent sur l’importance du choix des fonctions d’utilité et de production, d’une part, et du mode de fixation des allocations-chômage de l’autre. Selon les hypothèses faites, la courbe WS a une élasticité finie ou infinie, ce qui altère profondément les propriétés du taux de chômage

crise : les cycles économiques 77 3) La crise économique dans les pays industrialisés 79 B) La croissance endogène en vogue 81 1) L’analyse de Solow 81 2) Le progrès technique, un facteur tombé du ciel 82 3) Paul Romer, ou la théorie de la croissance endogène 83 4) L’Etat au secours des innovateurs 84 V - LES POLITIQUES ECONOMIQUES (TD4-TD5) 86 A) La politique monétaire 88 B) La politique budgétaire 89 C) Politique de relance 90 D) Politique libérale et interventionniste

de processus, la technologie étant entièrement résumée dans la fonction de coût. La création de nouveaux produits ou l’amélioration de produits existants sont des innovations plus difficiles à étudier dans la mesure où elles affectent l’espace de choix des consommateurs. Pour contourner la difficulté d’une variation discontinue du nombre de biens disponibles (ce qui empêche d’utiliser les outils standards du calcul marginal), les économistes considèrent parfois que la palette des produits disponibles

totale 33 III. Les méthodes d'aide à la décision 34 A. Principe de l'actualisation 34 B. Principe de l'analyse coûts-avantages 35 1. Valeur actuelle nette 35 2. Taux de rendement ou taux de rentabilité interne 36 3. Choix du taux d'actualisation 36 4. Les autres méthodes d'aide à la décision 37 5. Les critiques adressées à l'analyse coûts-avantages 37 IV. Présentations des instruments d'intervention 38 A. Les instruments réglementaires 39

présentant plutôt diverses nuances d'une même solution étaient renvoyées par la Commission plénière, dans la plupart des cas, au Comité de rédaction. A celui-ci donc, assisté de l'admirable Secrétariat des Nations Unies, revenait la tâche soit de faire le choix entre les diverses formules proposées à la Commission plénière, soit d'en rédiger une toute neuve. Le Comité de rédaction devint ainsi la vraie forge du texte de la Convention. Au débat sur l'article 2 du projet de la C.D.I., on suggéra pour la première

Ben Youssef, Hountondji, Torre Enseignant responsable : M. Matthieu MANANT Leçon n° 2 Le consommateur (1) : comportement et fonction d’utilité Les objectifs de cette leçon sont de mieux comprendre le comportement des agents-ménages dans leurs choix de consommation et de modéliser leur comportement sous l’hypothèse de rationalité. Ces ménages, réduits à leurs activités de consommation, seront appelés les consommateurs. Dans la vision microéconomique présentée ici, on ignore le problème de la pluralité

relative à la recherche en finance intégrant la variable fiscale dans le choix de la structure du capital, la politique de dividende, le choix de la forme organisationnelle sur le plan national et multinational. Scholes et Wolfson (1992) ont établi un cadre conceptuel permettant d’intégrer la fiscalité dans les décisions d’investissement et de financement de l’entreprise. Ce cadre conceptuel n’a pas apporté de nouvelles théories ou méthodologies mais les auteurs ont adopté une approche positive

réel : C’est le rapport de quantités ou de prix nominaux. Plusieurs avantages en découlent : - la monnaie est une mesure flexible. Le prix réel permet d’éliminer cette éventuelle flexibilité. - il permet d’effectuer des comparaisons intertemporelles (ex : savoir s’il faut plus de temps pour acheter un bien par rapport à une autre période). - il permet d’effectuer des comparaisons interspatiales (ex : entre deux pays). Il faut donc convertir les unités monétaires dans une unité monétaire