Théories Des Parties Prenantes Et Secteur Public

(retraites/santé/indemnisation chômage/ politiques familiales, et toutes les politiques contre l’exclusion sociale) o la politique des revenus (impôts) o la politique commerciale (favorises les exportations) lié souvent aux politiques industrielles (au sens large = secteur productif) o la politique de change o la PAC (politique agricole commune) Pour chacune de ces politiques il peut y avoir deux visions. • La première est une vision libérale liée aux classiques, qui repose sur la garantie et le respect

entreprise. Dès lors, les entreprises doivent mesurer leurs progrès à partir d’une performance plus globale incluant, en dehors de la dimension économique, des dimensions sociale et environnementale. A présent, comment mesurer cette performance globale ? Existe-il des outils de mesure globale de la performance ? Sinon comment approcher cette mesure ? Mots clés : performance globale, responsabilité sociétale des entreprises, parties prenantes, indicateurs intégrés, convention. 1. INTRODUCTION : Depuis

l’entreprise (Wolff et Mauléon, 2005). « La plupart des définitions de la RSE décrivent ce concept comme l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes» (Commission des communautés européennes, 2001). Alors que la recherche académique tend à distinguer les concepts de DD et de RSE1, la ligne de démarcation entre les deux est beaucoup plus floue dans l’interprétation des entreprises2. Si la

Ressources Humaines à travers lequel les entreprises maghrébines, pilotent leurs activités en introduisant dans la GRH, des notions de chiffres, et d’indicateurs qui lui faisait défaut, et gèrent les interactions de la fonction RH avec l’ensemble des parties prenantes, qui sont de plus en plus exigeantes sur la performance de l’entreprise. Quelle est donc la contribution de l’Audit des Ressources Humaines à la performance organisationnelle? Et quel état des lieux peut-on dresser sur la pratique de l’Audit

de ceux qui, dans le secteur public ou privé, emploient ce mot, il désigne avant tout un mouvement de « décentrement » de la réflexion, de la prise de décision, et de l'évaluation, avec une multiplication des lieux et acteurs impliqués dans la décision ou la construction d'un projet. Il renvoie à la mise en place de nouveaux modes de pilotage ou de régulation plus souples et éthiques, fondés sur un partenariat ouvert et éclairé entre différents acteurs et parties prenantes, tant aux échelles locales1

................................................ iii LISTE DES ENCADRES, FIGURES ET GRAPHIQUES .................................................................................. iv PARTIE 1 : NOTE AU MINISTRE .................................................................................................. v PARTIE 2 : DOSSIER TECHNIQUE ........................................................................................... viii INTRODUCTION .................................................

professionnelle Sandrine Place qui nous a orientées dans la définition de notre sujet et nous a donné de nombreux conseils afin d’approfondir notre réflexion. Elle nous a surtout aidées dans nos préconisations qui nous ont permis d’enrichir la troisième partie de notre mémoire. Nous remercions également nos deux tutrices universitaires de mémoire, notamment Yanita Andonova, qui nous ont épaulées et suggéré également des pistes de réflexion théoriques pour la conception de notre mémoire. Enfin, nous remercions

RSE de la BNP p.4 2. Une RSE de la BNP limitée p.6 II/ Les banques face à leur environnement p.8 2.1 Les différentes parties prenantes p.8 2.2 Les agences de notation et la BNP p.12 Conclusion p.17 Bibliographie/Webographie p.18 Annexes INTRODUCTION Aujourd’hui, l’opinion publique tient les banques en partie pour responsable de la crise financière de 2008. L’image des banques s’est ainsi ternit et la RSE a enfin pris tout son sens dans

les caractéristiques économiques et concurrentielles d’un secteur économique ou d’une branche économique. Si l’on considère qu’un secteur est un regroupement de firmes ayant la même activité principale, et que toutes les entreprises d’une industrie obéissent à des logiques similaires et partagent des connaissances et des pratiques communes ; l’analyse sectorielle consiste alors à étudier systématiquement et successivement pour un secteur les conditions de base, la concurrence, les stratégies et

Gestion de l’entreprise Partie 1 : les sciences de la gestion Emancipation des champs et caractérisation de la discipline. L’article de Marcel Capet en 1962 dans la revue économique politique 1. La gestion, une discipline à définir. Gestion vient du mot latin gestio qui désigne l’action de gérer, exécution, issu du mot gerere : exécuter, accomplir ; au départ pour le compte d’autrui. Désormais, il veut dire gouverner, manager, diriger. Administration : business management=> aux USA