Ursule de Cologne

l’équivoque (dans son titre même qui fait allusion à la légende de sainte Ursule, vierge et martyre du Ve siècle qui fut mise à mort par les Huns près de Cologne avec, dit la légende ce qu’Apollinaire appellera dans “Cortège” [poème d’“Alcools”] «la ribambelle ursuline», onze mille vierges rhénanes qu’elle avait endoctrinées, ce que racontait encore, au XVIIe siècle, le Père Crumbach, auteur d'une naïve “Ursula vindicata”, imprimée à Cologne ; en fait, le chiffre hautement improbable de onze mille viendrait

Gwendoline, leur amie, se trouve à bord et participe au voyage. Pour Clovis la guerre continue. Il passe le Rhin à Cologne, entre à Thuringe. Entre temps, on lui annonce que les Alamans ont le dessus, que les Ripuaires sont en déroute et Sigebert blessé. Clovis fonce droit à son secours. Loup, Otto et Gwendoline sont arrivés, ils doivent marcher une journée pour arriver à cologne. Arrivés là, ils se mettent à la recherchent des os des vierges en attendant de délivrer le message au roi Sigebert,

qui se soulèvent et respirent, Sur les tapis des paumes et leur sourire, Dans les corridors des os longs et des articulations. Emportez-moi, ou plutôt enfouissez-moi. Mes propriétés. Marizibill_ Dans la Haute-Rue à Cologne Elle allait et venait le soir Offerte à tous en tout mignonne Puis buvait lasse des trottoirs Très tard dans les brasseries borgnes Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau roux et rose C'était un juif il sentait l'ail Et l'avait venant

Écoute les cloches qui sonnent Nous nous aimions éperdument Croyant n'être vus de personne Mais nous étions bien mal cachés Toutes les cloches à la ronde Nous ont vus du haut des clochers Et le disent à tout le monde Demain Cyprien et Henri Marie Ursule et Catherine La boulangère et son mari Et puis Gertrude ma cousine Souriront quand je passerai Je ne saurai plus où me mettre Tu seras loin Je pleurerai J'en mourrai peut-être   Dans la première strophe de ce poème, on découvre un couple qui s’aime

de l’époque. «  Diptyque de la Vierge à l’Enfant » 1487, Bruges. Traitement de l’espace. Miroir convexe qui nous fait comprendre comment le donateur (droite) voit la Vierge. Personnages individualisés. « Chasse de saint Ursule » livrée le 21 octobre (jour de la saint Ursule) 1489 pour la communauté monastique de l’Hôpital Saint Jean de Bruges * ------------------------------------------------- Gérard David 1455 – 1523 désacralisation progressive des primitifs flamands. « Madone à la soupe

style, personnel. Miracle de la vraie croix (Rialto), Légende de Saint-Ursule, Le départ des ambassadeurs. Il rompt avec une habitude, celle de l’unité du temps sur un tableau : plusieurs scènes chronologiques sur la même image, il est indifférent aux modes de son époque & emprunte aux époques antérieures (Légende de Saint-Ursule : Racontée dans la légende Dorée de Jacques de Voragine, l’histoire d’une princesse chrétienne Ursule qui accepte d’épouser le fils d’un roi païen d’Angleterre, Errée. Mais

les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Extrait de Le Pont Mirabeau Demain Cyprien et Henri Marie Ursule et Catherine La boulangère et son mari Et puis Gertrude ma cousine Souriront quand je passerai Je ne saurai plus où me mettre Tu seras loin Je pleurerai J’en mourrai peut-être Extrait de Les Cloches Les enfants de l'école viennent

vingt ans Il me suffit de sentir l'odeur de leurs églises L'odeur des fleuves dans leurs villes Le parfum des fleurs dans les jardins publics Ô Corneille Agrippa l'odeur d'un petit chien m'eût suffi Pour décrire exactement tes concitoyens de Cologne Leurs rois-mages et la ribambelle ursuline Qui t'inspirait l'erreur touchant toutes les femmes Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu'on cultive pour que j'aime ou que je bafoue Et de toucher les vêtements Pour ne pas douter si l'on est

vingt ans Il me suffit de sentir l'odeur de leurs églises L'odeur des fleuves dans leurs villes Le parfum des fleurs dans les jardins publics Ô Corneille Agrippa l'odeur d'un petit chien m'eût suffi Pour décrire exactement tes concitoyens de Cologne Leurs rois-mages et la ribambelle ursuline Qui t'inspirait l'erreur touchant toutes les femmes Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu'on cultive pour que j'aime ou que je bafoue Et de toucher les vêtements Pour ne pas douter si l'on est

vingt ans Il me suffit de sentir l'odeur de leurs églises L'odeur des fleuves dans leurs villes Le parfum des fleurs dans les jardins publics Ô Corneille Agrippa l'odeur d'un petit chien m'eût suffi Pour décrire exactement tes concitoyens de Cologne Leurs rois-mages et la ribambelle ursuline Qui t'inspirait l'erreur touchant toutes les femmes Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu'on cultive pour que j'aime ou que je bafoue Et de toucher les vêtements Pour ne pas douter si l'on est