Vipère Au Poing Question

malheur en ayant accepté l’héritage de celui qui est son père. Axes : ( Violence du dialogue : _ Champs lexicaux : « tu crèves de jalousie » « Pierre ferma ses poings de fureur avec une envie irrésistible de sauter sur son frère et de lui sauter à la gorge. » « tu tortures notre mère… » « je casserai tes dents de vipère » _ Impératifs : « Ah ! Tais-toi, cette fois, ne parle point de cette fortune ! » «  Tais-toi, Tais-toi donc ! » _ Images fortes : «  La jalousie te suinte

Vipère au poing Chapitre I : L'histoire se déroule à la Belle Angerie dont on ne sait pas encore ce que c'est. Un jeune garçon Jean Rezeau appelé Brasse-Bouillon faisant parti de la famille Rezeau, jouait avec une vipère dans la cour. D'un coup il entend, Mlle Ernestine Lion crier « voulez-vous lâcher cela tout de suite ». Toute la famille criait c'est-à-dire Monsieur l'Abbé, la grand-mère, tante Thérèse Bartolomi, son oncle, la gouvernante, la cuisinière et la femme de chambre. Chapitre

consacré à Marguerite Yourcenar une biographie sous-titrée « l’invention d’une vie » suggérant par là que l’auteur a modelé sa propre vie. En quoi peut-on affirmer aussi que les Mémoires d’Hadrien sont « l’invention d’une vie » ? Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté en vous appuyant sur les lectures faites dans le cadre du parcours « soi-même comme un autre » Josyane Savigneau, auteur française contemporaine est journaliste, critique littéraire, biographe et écrivaine. Elle a

l'incite à se questionner sur sa société. De plus, l'auteur peut aussi permettre à son lecteur d'acquérir des connaieurs de celle-ci. Ainsi, ma trilogie des Rougon- Macquart, retrace la vie d'une famille au cours de plusieurs générations. On peut également citer le roman Germinal qui dépeint de manière frappant le monde mineur dans le Nord de la France. Ce but d'apporter des connaissances se fait aussi via les biographies ou autobiographies. Hervé Bazin, raconte dans Vipère au poing, son roman

Mme Julie Clémençon, professeur agrégée au collège Diderot de Sorgues, pour ses élèves de 3ème. (Cette séquence prend place après une séquence consacrée à l’autobiographie et avant celle consacrée à l’argumentation) Œuvre intégrale étudiée : Vipère au poing d’Hervé Bazin OBJECTIFS GENERAUX : • Endosser le rôle d’un avocat qui prépare sa plaidoirie / son réquisitoire pour/contre Folcoche. • Comprendre le déroulement d’un procès et découvrir le rôle du greffier, du procureur de la République, des

Clavel devient apprenti pâtissier à 14 ans avant de se former en autodidacte en exerçant les métiers les plus divers et de devenir journaliste dans les années 1950. Ses débuts dans la littérature sont facilités par les soutiens d’Hervé Bazin (Vipère au poing) et de Marcel Aymé (La Vouivre), écrivains déjà reconnus à l’époque. Il écrit son premier roman, L’Ouvrier de la nuit, en 1956, qui marque le début d’une grande série d’écrits. Il écrira environ une centaines d’ouvrages. Son dernier ouvrage,

Yves Lumonga 5PAZ FICHE DE LECTURE 5 : 1. Référence de l’ouvrage : Bazin Hervé, Vipère au poing, Paris, Livre de poche, 2001 2. Résumé : La Belle Angerie, le chignon de grand-mère, les vingt-quatre prières diverses de la journée, les tartes aux prunes, les marronniers en fleurs ; l’ensemble paraît être harmonieux jusqu’au jour où la grand-mère de Jean et de Ferdinand décède, fin d’une période de paix. Dès lors les parents de Jean et Ferdinand doivent quitter la Chine accompagné de leur

un vocabulaire péjoratif afin de décrire la Thénardier. En effet, il la compare souvent à un homme, il utilise plusieurs adjectifs synonymes de « gros ». A travers cette description, la Thénardier n’est pas mise en valeur du tout. De plus dans Vipère au Poing, d’Hervé Bazin, Folcoche est décrite par le narrateur, qui est son fils, comme une marâtre cruelle avec ses enfants et ses proches, qui ne vit que pour faire du mal. D’un autre côté, nous pouvons citer Julien Sorel dans Le rouge et le noir, de

est toutefois très négative et destructrice, conformément à ses idées personnelles. Il a écrit également des nouvelles et des essais, comme Ce que je crois en 1977. II- Résumé de l’œuvre L'histoire débute durant l'été 1922. Un enfant découvre une vipère. Il la saisit et l'étouffe de ses mains. 25 ans plus tard, Jean Rezeau, est le narrateur de l'histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il évoque la propriété de sa famille, La Belle Angerie. Il présente sa grand-mère paternelle, Mme Rezeau, chez

sentiments très prononcés. Les sentiments sont mis en avant lorsque le lecteur prend pitié la plupart du temps, un lien se tisse entre le « héros » et lui. Ce lien est bien plus prononcé dans les romans ayant un personnage principal ordinaire. Dans Vipère au poing de Hervé Bazin, le pauvre Jean Rezeau, dit Brasse-bouillon, décrit des rapports de tous les jours, entre un enfant et sa famille, plus particulièrement sa mère. Le lecteur peut par le biais de l’identification vu juste au dessus, prendre pitié