école De La Troisième République

------------------------------------------------- La construction de la République : moments et actes fondateurs (1880-1946) → Rappel sur la succession des régimes politiques en France depuis début du XIXème siècle 1804-1814 : 1er Empire (Napoléon) 1814 – 1830 : La Restauration (Louis XVIII, Charles X) 1830-1848 : La Monarchie de Juillet (Louis Philippe) 1848-1851 : La Seconde République (la 1ère République 1792-1799) 1851 – 1870 : Le Seconde Empire (Napoléon III) 1875 – 1940 : La 3ème République 1940-1944 : Régime de Vichy 1944-1958 :

PA : « La clé de voûte de notre régime, c’est l’institution d’un président de la République désigné par la raison et le sentiment des Français pour être le chef de l’État et le guide de la France », De Gaulle. Le général de Gaulle a souhaité, avec la constitution de 1958 et l’avènement de la Ve République, donner “une tête à l’Etat” pour conforter sa stabilité. Il a fait de la présidence la plus haute fonction de l’Etat avec des prérogatives importantes dans les secteurs régaliens notamment, avec

2-5] - Début de la deuxième république, échec de l’illusion lyrique (1848-1851). [p.2-3] - Le second empire ou l’échec du césarisme (1851-1870). [p.3-5] *Deux parties ; l’empire autoritaire [p.3-4] l’empire libéral [p.4-5] 1870-1914, la troisième République triomphante ; - La République sans les républicains (1870-1879). [p.6-7] *La commune [p.6] La difficile mise en place des institutions républicaine [p.6-7] - La République opportuniste (1879-1890). [p

la République à l’ensemble de la population française. En effet, de nombreux Français sont, au pire, opposés à la République, au mieux, indifférents à ce régime politique. Quelles sont les forces qui s’opposent à la république ? Nous verrons d’abord que ces oppositions étaient à la fois fortes et variées, et que les moyens d’action face à la République étaient nombreux et conséquents, pour enfin décrypter les réactions de la République face aux oppositions. Une fois la République installée

Hachette, Collection les Fondamentaux, 2000, 159p. Permet de situer le contexte général dans lequel s’intègre le sujet. - Sur le contexte politique : LEJEUNE D., La France des débuts de la IIIème République, collection Cursus Armand Colin, 1994. MAYEUR J.-M, Les débuts de la IIIème République (1871-1898), Le Seuil, Collection Points Histoire, 1878, 256p. Nécessaire pour comprendre la place et l’importance de la question scolaire dans l’ « horizon » républicain. - Sur le contexte social :

IVème République Régime bref, démocratie politique restauré, reconstruction assurée, construction Europe entamée, ouverture sur le monde engagée ; guerre d’Algérie, institutions inefficaces, instabilité gouvernementale, chute en 1958. I – Les débuts de la IVème République (1946-1952) 1. Fin du tripartisme Élection d’une nouvelle Assemblée nationale en 1946 qui confirme l’importance des partis communiste, SFIO, MRP. Auriol est le premier Président de la IVème République, le Président

capacité. Monarchie de Juillet et La loi GUIZOT(28 juin 1833) Elle est la première grande intervention de la puissance publique depuis la Révolution dans le domaine de l'enseignement primaire. Elle impose une école de garçons dans les communes de plus de cinq cents habitants et une école normale dans chaque département. Mais l'Etat laisse aux communes les charges financières de cette obligation qui ne sera pas partout remplie. Néanmoins le nombre d'écoles se multiplie : d'environ 42 000 en 1832

construction. Elle a pour but de transformer et d’améliorer l’être humain et elle permet d’approcher de la connaissance, d’apprendre à ressentir, d’apprendre à partager, d’apprendre à écouter. Elle n’est pas considérée comme une église, ni comme une école, la Franc-maçonnerie ne souscrit à aucune doctrine, ni à aucun dogme. Les Franc-maçon se consacrent à la recherche de la vérité et à l’amélioration de l’Homme et de la société. Elle est principalement basée sur un sentiment de fraternité. La fraternité

nombreuses lois de gauche sont votées. Ce discours de Paul Bert prononcé devant la Chambre des députés le 4 décembre 1880 annonce la future loi sur l’enseignement primaire obligatoire promulguée le 28 mars 1882 par Jules Grévy alors président de la République. Dans son intervention, le député de l’Union Républicaine s’adresse à l’opposition. Il rapporte le projet de loi porté sur l’enseignement primaire obligatoire ainsi que la sécularisation de l’école qui fera notamment l’objet du discours de Jules

après le coup d'état du 2 décembre (coup d'état par lequel Napoléon Bonaparte renversa la République et prépara la restauration de l'Empire.) Il s'exilera en Grande-Bretagne durant le Second Empire. Dans une première partie nous allons parler du fait que Martin Nadaud soit passé du statut de maçon à celui d'élève. Dans une seconde partie nous évoquerons le fait qu'il soit devenu professeur. Puis dans une troisième partie nous parlerons de son parcours qui l'a fait devenir député. En quoi les cours