1Ère partie commentaire littéraire sur tirade de phèdre
Le premier de la tirade est « le mal » ce qui signifie que l'amour est vécu comme une souffrance (moral mais aussi physique) par phèdre. Dans cette première partie, on retrouve le champs lexical de la souffrance : « trouble » v274, « tourments » v278, « ma raison égarée » V282, « incurable amour » v283 : cet amour est également comparé à une maladie.
Phèdre exprime ça souffrance au vers 289 : « O comble de misère » avec au début de ce vers : une interjection suivi du mot « misère » qui exprime la souffrance puis il y a une hyperbole « comble de ». tout ceci exprime une souffrance moral mais phèdre souffre également physiquement.
Au vers 273 : « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vu » phèdre vois hippolyte puis suite à sa vu passe par différentes sensations : « je rougis, je pâlis », l'assonance en -i- dans ce vers mime la plaine de phèdre, dans ce vers, il y également un chiasme qui montre bien que phèdre est « enfermé » dans sa vision d'hippolyte. Au vers 276 « je sentis tout mon corps et transir et brûler » elle passe cette fois-ci par différents état, tout d'abord elle « transie» puis elle « brûle » ces deux vers nous montre que phèdre est dominée par ses émotions et à aux réactions physiologique quelles entraîne, L'antithèse entre « rougir » et « pâlir » puis entre « transir » et « brûler » souligne la force ainsi que la contradiction des sensations, la répétition de « et » insiste sur la simultanéité de deux sensations contraires. L'adverbe « tout » montre que phèdre est complètement envahie par ses sensations. Dans les vers suivant : « mes yeux ne voyaient plus » v275, « mes yeux le retrouvaient » v290, « et le voyant sans cesse » v286, « j'ai revu l'ennemi » v303, nous retrouvons le champs lexical de la vue ce qui montre que