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Elle reprend le flambeau laissé par Benoît Hamon qui avait annoncé alors qu’il était encore aux commandes du ministère de l’Education nationale, une réforme de la méthode d’évaluation des élèves devait être envisagée. Najat Vallaud-Belkacem reste donc dans la continuité de son prédécesseur en proposant à un jury de trente personnes d’étudier cette problématique en Conférence nationale.
Selon un communiqué du ministère Les discussions ont portés sur cinq "questions principales" : "les formes d'une évaluation au service des apprentissages des élèves, l'information donnée aux familles, la place de la notation, les moments de l'évaluation dans les parcours, et le rôle de l'évaluation dans les choix d'orientation et les procédures d'affectation"
La question de l’évaluation des élèves est soulevée depuis quelques temps. De plus en plus d’élèves semblent être affectés par les effets négatifs des évaluations, celles-ci tenant compte essentiellement des lacunes des écoliers et ne les encourageant pas assez dans la poursuite de leur progression.
Il y a l'Exemple école au Danemark > Pas de note chiffré, pas de compétition entre les élèves. Les élèves se disent moins de stress et plus d'entraide les uns envers les autres. Pas de notes avant 15 ans, pas de palmarès des établissements, des examens qui privilégient les projets ou les travaux inédits. De cette manière le Danemark présente une série de caractéristiques susceptible de faire réfléchir sur les relations entre l’apprentissage et les évaluations scolaires.
Cette réforme permettrait aux élèves en difficulté de ne plus se sentir stigmatiser ou décourager par des notes