Selon le cas de Angela Bucaro, Designer de mode et femme d’affaires. Je dirais qu’il y a un certain danger dans le monde du vêtement féminin. Par exemple, le manque d’évolution de la technologie au Canada, ce qui augmente les coûts de productivité et qui rend les petites et moyennes entreprises non compétitives à des grandes industries.

L’importation de vêtements féminins sur le marché canadien prend de plus en plus d’ampleur à des prix très compétitifs. Ce qui a pour cause de faire diminuer la producion au Canada au profit de l’importation.

Plusieurs associations professionnelles engendrent de la divergence aux niveaux des intérêts de l’industrie du vêtement. Ce qui n’aide pas l’industrie à se regrouper et à faire front à la mondialisation du marché des vêtements. Ces associations professionnelles multiples causent l’existence de nombreux décrets qui régissent la production de vêtement, ce qui n’aide pas la production de vêtement au Québec et au Canada.

Une autre faiblesse de l’industrie est le coût de l’approvisionnement qui est élevé au Canada : l’industrie doit importer ses matières premières pour réduire ses coûts d’approvisionnement. Le manque de technologie en est la cause. Une solution à l’industrie serait d’introduire des méthodes et technologies modernes de production, ce qui procurerait ainsi une attirance chez les jeunes dans tous les domaines, autant en gestion quand production.

Un autre danger au Canada est l’accord de libre-échange avec les États-Unis (ALE), puisque le Canada importe plus de 60% des fils et tissus nécessaires à sa production. Ainsi, il ne peut bénéficier du traitement tarifaire préférentiel, à cause de l’importation en provenance de pays en voie de développement ou des nouveaux