On observe sur toutes les cartes de France ou presque qu’il y a incontestablement un centre aux réseaux de transports français : Paris. Cela vient de la tradition française de tout rassembler. Paris est une capital économique, historique, qui réunit en son sein tous les pouvoirs : juridique, militaire, financier, politique, économique… c’est aussi un centre culturel en plein aire, de part son architecture, son histoire et son nombres incommensurables de musés et galeries d’art. De Paris on observe les radianes qui s’efforce de relier la capital aux autres métropoles dans un souci d’équilibré le réseau français, pour arriver à un réseau polycentriques, cela à la suite de la grande politique d’aménagement du territoire. Sans compter la polarisation de réseau français vers Paris, il est aussi déséquilibré pour des causes géographiques : il a en effet était longtemps impossible de franchir certains espaces naturels comme le massif central, ou des grands lacs. Avec les progrès technique cependant on peut maintenant construire des ponts, des tunnels (comme celui du Mont Blanc, ou celui sous la Manche) et ainsi accéder plus facilement à des zones inaccessibles qui peuvent désormais se développer. On remarque quand même que malgré la politique d’équilibration du territoire, à cause de « l’effet tunnel », les petites villes qui ne demandent qu’à se développer son oublier. Il n’y a donc quasiment que les mégapoles qui jouissent de l’utilité commerciale des transports reliant le territoire comme le train et l’avion, les petites villes se contentent de réseaux ferrés restreints et peu performants. Ensuite, il apparaît que la connexion entre différents modes de transports est très bénéfique, les plateformes multimodales que la plateforme Delta trois se multipliant. En effet elles sont d’une utilité énorme : elles permettent de mettre encore plus les différentes mégapoles en contact, et par différents moyens (qui prennent en compte les