Albert camus la peste (épilogue)
Camus montre l’absurdité avec les différents comportements en face du mal. Le mal et une chose qu’on peut ni comprendre ni expliquer. Le mal comme toute la vie est une chose qu’on ne peut pas changer. L’homme doit seulement croire à l’existence et vivre dans un monde absurde. Il doit accepter l’absurdité de la vie ( le mal vient si on veut ou pas). L’action de l’homme et limitée. Dans ce cas là l’homme est limité par la peste.
L’absurdité et les différents manières de la confronter sont les thèmes principaux de « La Peste ». Pour nous rendre l’état de l’absurdité plus fort Camus utilise un style monotone et impersonnel. Il fait usage d’une langue sèche et objective. Pour fortifier la tension de la langue utilisé est de l’objectivité, Camus attend jusqu’à la fin pour nous révéler qui est le narrateur. Le narrateur c’est le médecin Rieux.
Rieux essaye de faire l’impossible pour sauver les autres habitants. Il croit seulement à l’homme et à ce qu’il fait.
Il ne change jamais sa manière de vivre. Il ne juge pas ce qui se passe et ne demande pas pourquoi le malheur est arrivé. Il pense seulement à ses devoirs. Il se révolte jusqu’à la fin. Même quand sa femme meurt il ne change pas son comportement.
Au contraire il y a Tarrou qui essaye de s’expliquer tout et qui pense en manière rationnelle. À la fin il est une victime de la peste.
La religion est représentée par le père Paneton. Il n’accepte pas l’assistance de Rieux quand il meurt parce qu’il se dit qu’un prêtre ne peut pas consulter un médecin. La peste c’est une chose qui doit être acceptée. C’est un fléau de Dieu. Pour une raison inconnue. Seulement Dieu peut comprendre le mal.
Mais quand le fils du juge Othon meurt Paneloux met en doute sa foi. Mais il se justifie avec la foi que peut-être on doit accepter les choses qu’on ne comprend pas. À la fin il meurt, mais on ne sait pas si c’est à cause de la peste. Ici on voit que Camus ne croyait pas en Dieu. Il fait mourir la religion