Albert camus - l'etranger
Au début de l’histoire il ne montre aucune émotions c’est pourquoi ses sentiments sont froid et désintéresser ! Quand sa propre mère meure il n’a qu’a dire que ce n’est pas sa faute. Il n’éprouve rien toute au contraire il est calme et il montre ni tristesse ni souci qu’il regrette de ne pas avoir vu sa mère souvent.
Bien sûr on peut dire que sa décontraction consiste en sa bonne conscience parce qu’on doit dire qu’avant il gardait sa mère chez lui mais avec le temps il ne pouvait plus s’occuper d’elle comme il a eu un salaire modeste et elles ennuyer chez son fils.
La seule solution pour Meursault était de mettre sa mère dans un asile ou il pensait que ce n’était même pas nécessaire de la visiter de temps en temps ! Mais pour ne le pas juger il avait toujours des bonnes excuse.
Premièrement sa mère avait besoin de s’habituer à sa nouvelle maison et s’il l’aurait visiter souvent elle n’aurai eu jamais la chance de s’habituer et elle resterai toujours dépendant de son fils. Deuxièmes on ne doit pas oublier que Monsieur Meursault travaille toute la semaine et le dimanche était son seul jour libre. Alors s’il devait rendre visite à sa mère, sa lui prenait le dimanche !
Je ne veux pas dire que Meursault avait des sentiments de déteste devant sa mère mais un sentiment encore plus grave – l’indifférence. On l’impression qu’ après l’enterrement de sa propre mère, son histoire de famille était terminer. Comme il n’avait personnes de sa famille sauf sa mère, il a perdu toute ses origines, quelque chose qu’est triste.
Il semble qu’il a oublié sa mère le moment ou il l’a mise dans l’asile à Marengo,