Anales de bac svt 2009
ADN humain → Extraction du gène codant pour la dystrophine
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Introduction de ce gène dans le génome d'un adénovirus
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Injection du virus recombiné dans les muscles
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Pénétration de l'ADN viral dans le génome des cellules musculaires
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Expression + synthèse de la protéine
Du génotype au phénotype - applications biotechnologiques - question 2 points
Pour la myopathie : fonctionnement anormal des cellules musculaires; absence d'une protéine : la dystrophine; séquence de nucléotides anormale au niveau du gène codant Exemple de la drépanocvtose : forme anormale des globules rouges;
Hb anormale fibreuse;
Hb anormale due à une séquence d'acides aminés anormale (AA n°6 différent) séquence de nucléotides anormale (couple n°17 = A-T remplacé par le couple T-A). Le phénotype d'un individu peut donc se définir à différentes échelles : macroscopique, cellulaire, moléculaire mais quelle que soit l'échelle, ce sont des protéines qui contribuent à l'établissement du phénotype.
La fonction d'une protéine est liée à la succession de ses constituants = les acides aminés.
C'est la séquence des nucléotides de l'ADN qui détermine la séquence des acides aminés.
Le phénotype d'un individu dépend donc de son génotype.
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Alimentation, production alimentaire, environnement - question 1 (sujet, corrigé personnel) points
Document 2 : expérience d'Osborne et Mendel
- en présence de caséine : la croissance des rats est normale ;
- en présence de zéine, ils maigrissent ;
- si l'on rajoute T leur masse se stabilise et
- ils retrouvent une croissance normale si l'on rajoute L.
Les deux protéines n'ont donc pas la même valeur alimentaire.
Document 1 : la composition de ces deux protéines montre que la zéine ne contient pas de lysine ni de méthionine et un très faible taux de tryptophane contrairement à la