Dans ce poème, le poète établit une image d’une femme idéal et une expérience d’amour imaginaire et fugitive. Dans les première deux strophe, la beauté de la femme est soulignée par l’opposition entre l’image de la femme et l’image du poète lui-même. Cette opposition est exprimée avec les mots contradictoires pour décrire les deux personnes. Pour la femme, sa élégance aristocratique et beauté sont montrées par les mots “longue”, “mince”, “majestueuse”, “fastueuse”, “agile et noble”, “jambe de statue”. A opposition, le poète décrit lui-même comme “buvais”, “crispé”, “extravagant”. L’image de la femme est aussi un reflet de l’idéal inaccessible du poète. L’opposition entre le poète et cette image réfléchit la différence entre l’idéal et la réalité. Mais cette image idéale a une opposition dans elle-même, comme le vers 8 suggère, “la douceur” et “le plaisir”. Peut-être, pour le poète, ces deux sensation sont toujours liées dans la vie, même que la mort (“plaisir qui tue”) rend la vie plus belle. Mais dans la réalité, autour du poète, il ne peut voit que laideur et banalité, “la rue assourdissante autour de moi hurlait”. Le désir profond pour la beauté et l’idéal est suggéré par l’opposition de “un éclair” et “la nuit” qui accentue l’illumination que la femme apporte et la déception de la perte. il y a aussi une opposition entre le moment “fugitive” (v.9) et la notion de “l’éternité” (v.11), qui souligne l’influence profonde du regard et le désespoir du poète après la femme disparaît.