Analyse spectacle arlequin polit par l'amour
Arlequin poli par l’amour est un texte écrit par Marivaux et mis en scène par Thomas Jolly qui raconte l’histoire d’une fée qui a fait transporter Arlequin dans son Ile. Elle épie son réveil et à son réveil elle lui demande s’il veut prendre une leçon pour l’amour d’elle, mais Arlequin ne semble guère intéressé. Quand la fée et Trivelin danse et chante pour lui, il ne pense qu’a manger. En parallèle, nous suivons l’histoire Silvia, une bergère qui est aimé d’un berger qu’elle n’aime pas. Or quand elle et arlequin se rencontre, née une véritable passion. Ils sont charmé l’un de l’autre. Arlequin va même par la suite demander à la fée quel effet cela faisait d’aimer, il n’en n’est alors plus que content quand il sait qu’il est amoureux de Silvia. La fée, jalouse tente de faire dire à Silvia qu’elle n’aime pas Arlequin mais en voyant pleurer celui-ci, elle ne peut s’empêcher de lui avouer qu’on lui fait dire des mensonges. Trivelin, le complice de la fée, vient en aide aux deux amoureux et prend la baguette de sa « patronne ». Les deux amants se marient alors devant elle, sans qu’elle puisse y mettre obstacle.
Arlequin est une personnage très intéressant, car au début de la pièce quand il se réveille, il est quelqu’un d’innocent de pure, de si « enfant », et quand il rencontre l’amour il « grandit » tout d’un coup. On passe de l’enfant chétif, a l’adolescent puis a la fin a l’adulte qui devient un peu cruelle. Tel un conte de fée, c’est l’amour qui l’a changé. Silvia est une bergère, amoureuse des les premiers regards et dès les premières expressions échangé avec Arlequin, de lui. Elle fera tout pour retrouver son amant qui est dans les bras d’une « méchante fée ». Cette fée qui en réalité est cruelle à cause de sa baguette magique qui a un trop grand pouvoir sur elle, et qui le rend vulnérable. C’est ce qui fait d’elle une personne si « noire », si « froide ». Elle cherche l’amour et semble aimer Arlequin. Trivelin est le