apres la mort
693 mots
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Je regardai le ciel, le ciel tout mouillé par cette pluie qui ne voulait pas arrêter et tout d’un coup je ne senti plus rien…. Je ne vis que cette voiture roulant vive allure et qui s’approcha dangereusement de moi. Je n’étais pas capable de bouger. Je regardai cette lumière, cette lumière qui m’embrouilla tout le cerveau. Je me retrouvai par terre sans sensations, sans douleur, sans vie. C’était si vite que je n’ai même pas vu ma vie défiler. Je ne pensais à rien, j’étais mort et pourtant j’avais l’impression que je vivais encore. J’étais peut être devenu fou. Peut-être que c’était juste un rêve … Je me sentais tout vidé de mon cœur, je me sentais disparaître aux yeux de tout le monde. J’allais surement apparaître aux premières pages de journaux et après quelques jours j’allais être un grain de poussières perdu dans ce monde. J’étais la couché par terre, mais j’avais déjà disparu, j’étais déjà cette personnes malheureuse qui n’a pu survivre à cette accident. Le conducteur vas ensuite aller en cour et aller en prison, mais après il fera d’autre victimes, ainsi vas la vie. J’étais une de ces personnes qu’on enterra le plus profondément dans cette terre, cette terre qui n’a pas voulu de moi. On m’oubliera comme toutes ces personnes morte qui sont la a mes côtés, eux aussi si profond que les gens n’osent pas creusé pour les déterrés. Je ressens toute la tristesse des gens, mais je ne suis plus là pour eux. Mon cœur n’est plus là, je ne suis qu’os et de chair. Je suis la a les regarder pleuré sans rien faire. Je suis la a essayé de les réconforté, mais je n’y suis pu capable. J’essaie de leur parlé, mais aucun son ne sort de ma bouche. Puisque je suis déjà mort, cela ne sert à rien. Je suis maintenant livré à moi-même.
Je suis livré à cette vie, sans couleur ni saveur. Cette vie toute grise dans cette peur de ne plus jamais ressentir quelque chose. Je vois tous ces gens, ces gens comme moi qui essais de combattre cette mort. Qui essais de ressentir à