CRITIQUE DE L'UNE DES PLUS GRANDE TRAGEDIE FRANCAISE DU XVII

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Racine met en scène la passion comme un sentiment dévorant et destructeur avec son personnage principale qui a donné le nom à la pièce, soit Phèdre. Elle est marié au roi d'Athènes, Thésée mais cette dernière ressent des sentiments pour son beau-fils, Hippolyte. Dés la scène quatre du premier acte, elle dévoile ses sentiments à sa confidente, OEdone qui la pousse à les avouer à Hippolyte par la longue absence de Thésée. Phèdre suit les conseils de sa confidente mais est rejetée par son beau-fils qui entretient une relation secrète avec Aricie. C'est alors que le mari déclaré mort est de retour. OEnone accuse donc Hippolyte de ressentir de l'amour envers Phèdre. Le roi décide de rejeter son fils pour en vouloir à sa femme, mais Hippolyte tente de se défendre sans pour autant accuser Phèdre puis avoue aimé Aricie et non Phèdre mais son père ne le croit pas et le condamne à l'exil, il demande même au dieu Neptune de tuer son fils. Phèdre hésite à révéler la vérité mais sachant qu'Hippolyte est amoureux de Aricie, elle laisse la jalousie prendre le dessus et laisse son beau-fils à une mort certaine. La pièce se termine par la mort de OEnone, puis celle de Hippolyte pour finir avec celle de Phèdre qui s'est empoisonné pour son tort.

Ce résumé vous donne t-il envie de lire la pièce ? Ou encore la voir ? Dés le début du résumé vous saviez la fin ? Ou alors avez vous été surpris par la mort de beaucoup de personnages ?
Tout d'abord, de mon point de vue, cette pièce n'est pas une pièce que j'ai aimé lire par le fait qu'elle soit écrit en alexandrin et avec du vocabulaire du XVII siècle comme lors de la tirade de Phèdre dans la scène trois, premier acte, où elle avoue ses sentiments à sa confidente. Le vers « Athènes me montra mon superbe ennemi » ne veut pas dire mon bel ennemi mais mon orgueilleux ennemi, plusieurs phrases comme celle ci