Asdaasdasdas
Le personnage de l’Arabe est représenté par Camus comme un Arabe traditionnel. La description de son visage et de ses vêtements montrent au lecteur que Camus voulait un Arabe traditionnel qui joue le rôle du prisonnier Arabe. Il était “vêtu d'une djellaba autrefois bleue, les pieds dans des sandales, mais couverts de chaussettes en grosse laine grège, la tête coiffée d’un chèche étroit et court" (84) et il avait des "énorme lèvres, pleines, lisses, presque négroides; le nez cependant était droit, les yeux sombres, pleins de fièvre" (85). Plutôt que de désigner l'homme par son nom afin de l'individualiser, Camus le désigne sous le nom de son groupe « ethnique » (l’arabe) comme pour généraliser son cas. La généralisation de l’auteur fait un effet que cette Arabe peut être n’importe quel prisonnier Arabe. Le lecteur a une impression que cette ethnique Arabe serait traitée de la même manière. Le gendarme français est représenté comme un homme rude envers l’Arabe. Le gendarme ne respect pas l’Arabe. Le gendarme représente le policier français en Algérie vers cette période. Dans le cas de cette Arabe, quand il va aller en prison il serait jugé par les Français, donc ceci est injuste parce que les français aura des préjugés contre l’Arabe. Camus a décidé que l’instituteur serait un homme français dans la solitude avec peu d'argent. Daru aide les gens dans le besoin, même