Assassins

1033 mots 5 pages
Conclusion : En introduction nous nous sommes demandé ce qui différencie l’assassin du meurtrier et si le fait d’être un assassin extraordinaire repose sur sa capacité à remettre en cause l’ordre établi. Avec la première partie, nous avons constaté grâce à notre sondage, que la distinction entre assassin et meurtrier est souvent mal comprise. C’est le crime qui est extraordinaire et qui frappe les esprits, pas nécessairement son auteur. Cela révèle la fascination pour la violence qui est en chacun de nous. Cela montre que l’assassin se montre extraordinaire en brisant un tabou, un interdit. Le mot incroyable revient souvent lorsque l’on évoque un assassinat.
L’assassin met au grand sa folie, ses excès en brisant les règles fondamentales de vie érigées par la société. A ce titre les réflexions d’Amélie Nothomb pendant l’interview qu’elle nous a accordé confirme que tout le monde peut avoir envie de tuer, mais qu’heureusement cette pulsion est réprimée dans la plupart des cas. Dans la deuxième partie nous avons vu qu’ils inspirent les œuvres littéraires et que celles-ci peuvent rester immortelles. Le conte de Barbe-Bleue en est un exemple. Plus fondamentalement la remise en cause de l’ordre établi peut contribuer à l’autodétruire et donc à changer l’histoire. Paradoxalement certains assassins restés dans l’histoire sont des amateurs comme Charlotte Corday. Le principe de circularité évoqué par le dictionnaire des assassins s’est vérifié à de multiples reprises : le fait divers inspire un livre dont le cinéma ne tarde pas à s’approprier le scénario pour produire un film. Ces créations artistiques peuvent à leur tour inspirer les criminels ou au contraire leur éviter de passer à l’acte en les libérant de leur pulsion qu’il voient réalisée à l’écran ou dans un livre. Nous n’avons donc nous n’avons pas fini d’en entendre parler des assassins. Que ce soit dans les magazines à la rubrique des faits divers, à la télévision, dans des romans, dans l'art,

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