Autrui et imagination
Sujet : sans l’imagination, autrui nous resterait-il invisible ?
Conseils intro : Nous verrons qu’il nous faut faire un effort d’imagination pour déchiffrer les signes que présente autrui, mais qu’ensuite dans cette nécessité de déchiffrer il y a le risque de la tromperie ou du malentendu. Nous nous demanderons finalement si ce jeu d’images entre nous et autrui ne constitue pas le charme même de l’existence. * Il faut restituer l’esprit du développement, il faut donner les idées, pas juste des titres. Apres les titres on les redonne : donc c’est inutile de les mettre dans l’intro. Dans l’intro il vaut mieux mettre les idées des parties, pas leurs titres.
Pour quoi la question se pose-t-elle, introduire la question.
Ne pas forcément définir tous les termes dès l’intro, on peut les définir dans la suite du sujet.
On peut y souligner un ou quelques termes pour insister dessus ( on peut aussi faire ça dans la suite du devoir) mais pas excessivement.
Ex : « alter ego : conscience autre. »
On peut commencer par donner un exemple pour aboutir à la question : ex ici : otello.
2) Montrer le cheminement de la pensée, comment on va traiter la question, par quel enchainement d’idées ou d’arguments va-t-elle être traitée ?
On ressent le besoin de surmonter sans cesse cette séparation entre moi et autrui, et pour cela on doit faire appel à toutes nos facultés. Notamment à l’imagination qui nous permet de nous transporter hors de nous même. Or l’imagination est source d’illusion, de fausse interprétation, de sorte que pour parvenir à une saisie d’autrui, pour le rendre visible, on peut se demander si l’imagination constitue la médiation nécessaire. Quelqu’un qui manquerait d’imagination resterait-il vraiment dans l’ignorance d’autrui ? L’imagination est-elle plutôt un moyen ou plutôt un obstacle à l’accès à la conscience d’autrui comme autre conscience ?
L’imagination permet-elle de dépasser le mystère d’autrui ou au contraire renforce-t-elle son