Bayle de la tolérance
Dans ce texte, Bayle établit un lien entre la croyance et la vérité ainsi qu’une opposition entre eux. Il donne aussi une sorte de règle d’action que les croyants doivent suivre. Effectivement, Bayle pense qu’il faut obéir à sa conscience même si l’on doit tuer. Seulement, un problème persiste, faut-il chercher la vérité continuellement ? Et, nos croyances ne suffisent elles pas ?
Dans cette première partie, Bayle oppose par plusieurs termes la croyance de la connaissance. Tel que « pleinement convaincus » qui renvoie à la croyance et tenir « la vérité absolue » qui évoque la connaissance. Effectivement, la croyance mène à une vérité relative ; mais dans ce cas on a affaire à une vérité absolue qui est l’opposée de la croyance. De plus, Bayle établit un lien entre la croyance et la vérité. Ce rapport est ambiguë puisqu’il y a deux types de relations. Tout d’abord, la croyance correspond à la vérité relative qu’elle donne. Ensuite, la croyance ne peut jamais nous faire accéder à la vérité absolue.
Dans cette seconde partie, Bayle rejette quatre critères de vérité. Tel que l’évidence, l’incompréhensibilité (soit l’absurdité), la satisfaction de la conscience ainsi que le courage (soit le zèle). L’évidence est rejetée car elle représente la saisie immédiate du vraie. La satisfaction de la conscience est aussi écartée car elle signifie que l’on n’à rien à se reprocher, c’est plus précisément être persuader que notre religion nous permet de rien avoir à se reprocher. Il en déduit donc que la religion la meilleure serait la plus proche de la vérité morale. Seulement, on ne peut pas mesurer la vérité d’une religion à une autre car le but de chaque religions et de dire ce qu’est le bien du mal. De plus, le bien et le mal diffèrent pour chaque religion. Enfin, Bayle rejette le courage et le zèle ; tout en faisant passer un message explicitement. Effectivement, il emploie plusieurs termes qui donnent son point de vue, il exprime