Bilan
Cette session-ci, j’ai fais mon stage à la résidence. Cette résidence héberge cinq personnes autistes. Ces derniers ont également un diagnostique de déficience intellectuelle sévère ou profonde. Lorsque j’ai appris où mon stage était, j’étais en colère de savoir que mon stage était si loin et mon niveau de stresse a également monté en flèche. Mon auto n’était pas en état de faire tous ces voyagements, j’ai dû ramasser mon argent rapidement pour la réparer. Par la suite, j’ai eu ma première rencontre avec mes éducatrices guides. Elles m’ont mise au courant que la clientèle était anglaise. J’ai eu un choc en l’apprenant, puisque je n’étais pas au courant et j’étais en colère contre les organisatrices des stages, car je me rappelais qu’elles avaient demandé de nous mettre une note sur 5 sur notre capacité à communiquer en anglais (5 étant l’excellence) et je m’étais mis 1/5. Bref, mon stage a très mal commencé. De plus, je n’arrivais pas à être ponctuelle, car mon auto n’était pas fiable. Malgré tout, j’étais quand même heureuse d’avoir des autistes et des déficients intellectuels comme clientèle. Les clients avaient tellement de diagnostiques (selon moi) que j’avais de la difficulté à les démêler et les distinguer.
Tout d’abord, les facteurs qui ont facilité mon expérience de stage a été mon ouverture à l’expérience et ma persévérance. Au début, je trouvais cela difficile d’aller à mon stage, la clientèle m’était un peu inconnue, mais elle m’intéressait tout de même. J’étais motivée à essayer malgré ma démotivation et le fait que mon anglais soit médiocre. J’ai persévérée tout au long de mon stage. J’ai été élevé en me faisant dire que lorsque l’on commence quelque chose, il faut le terminer. Même s’il m’est arrivé à plusieurs reprises de ne pas vouloir aller à Dixville et que ma motivation était faible, je me suis forcé à y aller et à donner mon 100%, même si parfois c’était plus difficile. J’ai pris toutes les critiques que l’ont m’a