Boule de suif argumentation
Comment les compagnons de Boule de Suif arrivent-ils à la convaincre de céder à l’invitation?
I.Les marques de la narration 1.Composition de la narration Dans ce texte, nous pouvons le découper en 3 parties : le repas du midi de la ligne 1 à 19 l’après-midi de la ligne 20 à 23 le dîner de la ligne 24 à 61 1.Les temps de la narration Les deux temps qui dominent ce passage sont le passé simple : l.1 « commença » l.2 « cita », l.18 « se déroula » et l’imparfait : l.16 « auraient » l.18 « semblait ».
On peut aussi noter qu’il y a du présent dans les dialogues qui sont rapportées : l.43 « vous pensez », l.44 « est ».
1.Les marqueurs de la temporalité Dans ce texte, on peut distinguer une chronologie logique qui illustre une journée normale, avec le repas du midi (l.1 « aussitôt à table ») puis le temps de l’après-midi (l.20 ; « pendant toute l’après-midi ») et enfin le repas du soir (l.24 : « au moment où l’on servit le potage », l.26 « au dîner »).
I.Les marques de l’argumentation 1.Les indices typographiques L’argumentaire se distingue en 3 parties : la première de la ligne 1 à 19, les compagnons de voyages de Boule de Suif, citent des exemples de femmes qui se sont sacrifiés pour une raison valable (l.3-4 : « Cléopâtre faisant passer par sa couche tous les généraux ennemis, et les y réduisant à des servilités d’esclaves ») la deuxième partie l.20 à 23, le but ici est de lui laisser le temps de réfléchir et de la descendre d’un degré dans son estime (l.21 : « on lui disait simplement mademoiselle »). la troisième partie, de la ligne 24 à 26, se passe au moment du dîner, les bonnes sœurs sollicitées par la comtesse, approuvent le fait que de se sacrifier est pardonnable aux yeux de Dieu quand le motif est pur (l.43-47 : « Alors ma sœur, nous