Candide ou la critique contre l’optimisme
En 1755 à Lisbonne, il y a eu un grand séisme qui a détruit la ville et qui a fait un très grand nombre de victimes. L’écrivain et philosophe Voltaire a été profondément touché quand il a appris la nouvelle et cet évènement l’a poussé à attaquer la philosophie de l’optimisme soutenue par des philosophes tels que Leibniz. Après cette catastrophe il ne pouvait plus supporter l’idée du ‘tout est bien’ et pour réagir il a écrit un long poème intitulé ‘Sur le désastre de Lisbonne’. Ce poème a été publié en 1756. Deux ans plus tard, la mécontentement de Voltaire n’est toujours pas apaisé et il écrit ‘Candide ou l’Optimisme, un conte philosophique qui fait également preuve d’un critique contre l’optimisme des philosophes de l’époque. Dans ce conte, il s’agit d’un jeune garçon qui s’appelle Candide. Il habite un château en Westphalie chez son oncle le baron de Thunder-ten-tronckh. Candide est enseigné par le philosophe Pangloss qui est selon lui le plus grand philosophe de la terre. Pangloss pense qui nous vivons dans le meilleur des mondes possibles et que même quand on est dans le mal on est bien. Candide tombe amoureux de Cunégonde, la fille du baron. Un jour ils s’embrassent et le baron les surprend. Il se fâche et renvoie Candide du château. A partir de ce moment Candide doit survivre dans le monde à l’extérieur du paradis du château. Il a affaire à de nombreux catastrophes qu’il doit vaincre mais il n’oublie pas la philosophie de Pangloss. Il fait de nouvelles rencontres et fait connaissance avec des autres visions sur le monde mais il reste fidèle à l’idée que tout va bien, tout est bien tout va le mieux qu’il soit possible. Il retrouve son ancien maître et le perd encore une fois pour le retrouver de nouveau à la fin. Cela est de même pour son amour Cunégonde. Il fait tout pour la retrouver et il y arrive après avoir vécu de nombreux catastrophes. Candide, Pangloss, Cunégonde et les autres personnages qui jouent un rôle