Maxime Vieillard 1G3

Dm de Français 1 un spectable grandioseVoltaire, dans l’extrait proposé, nous décrit un spectable grandiose de la guerre. En effet, dans la phrase « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées», on peut remarquer plusieurs figures de style : la première est une anaphore du terme « si », et la deuxième est une accumulation améliorative. Ces deux éléments, qui donnent un effet de renforcement, nous démontrent l’admiration de CANDIDE pour la guerre. De plus, dans la deuxième phrase, avec les termes « les trompettes les fifres, les hautbois, les tambours, les canons… », une accumulation désordonnée d’éléments sonores peut-être observée. Cette addition des différents mots permet d’insister sur la cacophonie présente …afficher plus de contenu…

Par ailleurs, dans les expressions suivantes : « les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes… », « la mousqueterie ôta […] environ neuf à dix mile coquins … », « la baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes », « trentaine de mille âmes », sont utilisés différents procédés. Tout d’abord, il existe une multiplication de chiffres colossaux, ensuite, une hyperbole est employée pour exagérer et mettre en relief le nombre de morts, enfin un euphémisme avec le terme « quelques » qui atténue le nombre de cadavres. On peut examiner également une personnification des armes avec le verbe « renversèrent » et des verbes d’action (renversèrent, ôta, …). L’intégralité de ces éléments met en valeur la guerre et met en avant