Cas skywater
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Question n° 1.
J’ai choisi de répondre à cette question sous forme de tableau.
Les étapes de la création : | Idée de départ | Dans le document 3, Willy ROHDMANN nous décrit comment leur est venue l’idée à lui et son associé : « en regardant la pluie tomber ». En effet, les deux associées payaient de grosses factures d’eau et en voyant la pluie tomber, il leur vint à l’esprit de recycler l’eau de pluie tombée. | Liaison avec l’étude de l’environnement et technologie | - Face à l’essor de l’écologie, l’idée de récupérer l’eau de pluie a un réel potentiel dans le marché porteur qu’est devenu le développement durable ces dernières années.- Récupérer l’eau de pluie, la filtrer et l’ioniser se fait grâce à un processus technique bien défini. | Marchés | Skywater cible dans un premier temps un marché de professionnels : entreprises industrielles, collectivités locales, transporteurs, hypermarchés etc.Dans un second temps, l’entreprise envisagerait de conquérir le marché des particuliers. | Financement | Les créateurs ont fait un apport personnel de 50 000 € et ont emprunté 20 000 € à la banque.Comme dit précédemment, afin de se développer, l’entreprise a pour projet de s’attaquer au marché des particuliers comme l’a fait avant elle Karcher (document 3). |
Question n° 2.
Les raisons économiques qui peuvent conduire les entreprises et/ou les collectivités locales à investir dans des récupérateurs d’eau sont motivées par les économies de coût sur le long terme (rentabilité) qu’elles peuvent tirer suite à cet investissement. Le supermarché de Saint-Macaire-en-Mauges illustre cette idée.
Le choix de s’équiper répond en outre à des raisons sociales en lien avec la RSE des entreprises qui prend en compte la notion de développement durable (ici, il s’agit de l’économie de l’eau qui est une ressource rare et limitée et la préservation des