Cendrars la main coupée
Passage « Ce colonel P. 73 à … Saint Glin-glin n’a pas eu de chance » P. 99
Situation
Rappel Kupka, personnage réel, peintre projection d’un dessin tiré de l’Assiette au beurre, la paix de Kupka voir site: www.lemondedesarts.com
I/ORGANISATION DU CHAPITRE ET PERSONNAGES
A/ORGANISATION
Les différentes parties A) la marche Paris-Rosières B/L’arrivée à Rosières: l’appel du colonel C/Le Four à chaux -la perte de la liaison p 78 -l’arrivée dans les tranchées P 80 -la discussion avec le sergent P 82 -réflexion sur la guerre P 84/5 -l’absurdité du combat P 88 -le nouveau secteur P. 90/1 -la pagaie P. 93 D/ le capitaine Jacottet P 98/99 B/ LES PERSONNAGES
LE COLONEL: vieux décrépit, qui venait du service géographique, avec des idées d’un autre âge. Il fait marcher ses hommes de Paris à Rosières (refaire le trajet sur une carte). Il fait procéder à la fouille des sacs des soldats et brûler ce qu’il ne juge pas nécessaire. Il fait l’appel des compagnies sous les obus.
LE SERGENT GUIDICELLI: il ne sait pas où il va, il est Corse. 79. Il se dispute ave BC au sujet d’une cigarette P. 82, il va aux renseignements et disparaît P. 84. Il laisse ses hommes pour aller se chauffer P. 90. Il est versé dans un autre régiment P. 99. C’était un vieux soldat P. 99
LE LIEUTENANT: Il était en panne, perdu et essayait de s’orienter, il fonce comme un sourd dans la nuit noire P. 81. Il perd son sang froid P. 81 Il perd ses hommes 82. Il n’est pas fier 84. Il part aux renseignements mais ne revient pas 84
GARNERO DIT CHAUDE- PISSE
Il part à la recherche du sergent et du lieutenant 87 Il les retrouve à l’abri. Il a la « chtouille » (explications) Il vient de Clichy, c’est le plus dégourdi de l’escouade P. 88
FAVAL et COQUOZ, ils vont établir une liaison P89
LE CAPITAINE JACOTTET: c’est le chef du bataillon P. 98 C’était un homme P. 98
SAINT GLIN-glin. Suisse