Centre fermé de saint-hubert
Le premier centre fermé fût ouvert en 2002, à Everberg. Il a été créé suite à des plaintes de mineurs en prison. Ils ont débutés avec rien, c’était simplement des éducateurs qui devaient se débrouiller pour occuper et éduquer des mineurs « dangereux » ou en « difficultés ».
Suite aux mésententes Wallonie/Flandre de 2010, les éducateurs francophones et wallons ont dû quitter ce centre. C’est à la suite de cela qu’on a créé le centre de Saint-Hubert.
Un centre fermé est ≠ d’une IPPJ !
Conditions d’entré dans le centre: (DE SAINT HUBERT) * Etre un garçon ; * Avoir en 14 et 18 ans lors des faits ; * Que ce soit un dernier recours ; * Que ce soit comme transit (max 2 mois et 5 jours) ; * Que les faits soient qualifiés de faits GRAVES, c’est-à-dire qui, pour un adulte seraient punis de 5 à 10 ans de prison.
Les filles qui sont placées dans des centres fermés vont au centre de Saint-Servais, …
Dans ce genre de centres, les éducateurs sont actifs en permanence, ils ne restent jamais à l’arrêt. Lorsqu’ils sont avec des jeunes, ils font des activités tout au long de la journée. Notamment, des activités sportives, ludique, culturel, éducatives. L’éducateur se doit de laisser ses problèmes personnels de l’autre côté de la grille. Si lorsqu’un éducateur arrive au centre et fait sentir aux adolescents qui s’y trouvent, qu’il a des problèmes personnels, il peut soit se faire écraser, soit mal réagir avec les jeunes ou encore être la source d’énervements ou de conflits de leur part.
90 personnes travaillent dans le centre de Saint-Hubert.
Les nuits y sont gérées par les agents pénitenciers engagés par le fédéral. En général, il reste un gardien de nuit et en cas de problème (chez un jeune) le garde doit appeler son chef qui viendra au plus vite le rejoindre (celui-ci habitant Saint-Hubert) afin de ne pas laisser un jeune seul avec le gardien et risquer qu’il n’assomme ou ne blessent celui-ci et fassent ensuite ce