Changement organisationnel et culture d’entreprise
Liées au gender studies (l'étude de ce qui est spécifique au genre), des recherches visent à mettre en évidence que ce type de comportement repose sur une représentation sociale du genre qui tolérerait voire encouragerait les agressions de ce type. 1 Elles sont associées aux mariages forcés, grossesses forcées ou avortements forcés, mutilations génitales, lapidations, défigurations à l’acide et autres crimes d’honneur, esclavages et violences domestiques sans recours, viols d’épurations ethniques, esclavage sexuel, privations traditionnelles ou politiquement tolérées de libertés et droits humains fondamentaux dans la condition féminine.
La distinction de ce type de violences est issue des mouvements féministes puis du développement des Gender studies.
Distinction entre violences et persécutions[modifier]
Les violences peuvent être ponctuelles, marginales et déviantes tandis que les persécutions sont récurrentes, induisant la persistance d'une menace, potentiellement ancrées dans les mécanismes sociaux2. La notion de persécution, plus que celle de violence, permet de relier le phénomène aux catégories juridiques existantes tant en ce qui concerne la défense des droits humains fondamentaux, le droit humanitaire et pénal international et le droit de l'asile3. Cependant violences et persécutions peuvent tout autant être sous-tendu par des rapports forces. Un exemple récurrent est celui qui vise à établir une domination des hommes sur les femmes4, que les Gender studiesvisent à mettre à jour.
▪ . violence conjugale constitue le lot des violences que subissent les femmes au Maroc, soit une moyenne de 74%, indique un rapport sur la violence basée sur le genre, publié jeudi à Rabat.
Selon ce rapport (le deuxième du genre) établi par le Réseau national des centres d’écoute des femmes victimes de violence