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Chapitre 4 : quelle est l’origine des notions de bien et de mal ?

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Chapitre 4 : Quelle est l’origine des notions de bien et de mal ?Introduction : La morale selon l’opinion commune a mauvaise réputation. Pourquoi ? Parce qu’elle est souvent liée à des repressions, des interdits. « Faire la morale » ce n’Ets pas positif. Propos moralisateurs est également connoté comme péjoratif. Toujours dans l’aspect négatif de la morale ; parait extrêmement lié à la religion. Or, la religion et la morale sont discréditées car ne respecteraient pas la liberté humaine. Distinction …afficher plus de contenu…

Pourtant il utilise « éthique », issue du Grecque. De Spinoza date une valorisation de l’éthique par rapport à la morale. Les éthiques sont-elles compatibles entre elles ? Question compliquée. Précision de quelques problèmes que nous aborderons dans le cours. Comme l’indique le titre ; question du fondement, de l’origine des règles/ comportements qui constituent la morale. Il faut pour cela qu’il y ait des notions de bien et de mal. La morale est-elle naturelle ou culturelle ? Très important. Si on dit qu’elle est naturelle, signifie que les normes se rattachent à un ordre supérieur à l’homme. Souvent compris comme divin. La philo morale ne se fonde pas du tout comme une religion. La morale peut être dite naturelle car elle viendrait de la nature …afficher plus de contenu…

Il nous a dit que nous avons une conception de la liberté qui est illusion. Bezucoup d’autres idées sont des illusions selon lui. Celles-ci deviennent des préjugés visibles dont on doit se débarraser pour avoir un comportement moral. Le finalisme c’est lidée que tout a une fin. D’où ça vient ? Vient de qq chose qui est inevtiable ; que les hommes connaissent d’abord les choses en fonction de. On juge en fonction de nous-même. Les hommes vont juger que tout ce qu’il y a dans la nature agiot comme nous. Or, nous agissons toujours envers une fin.Implique qu’il va y a voir une puissance supérieur à l’homme qui organise tout vers un but.Cet auteur c’est ce qu’on va nommer Dieu. Signifie que ce Dieu.Non seulement il a tout fait envers un but mais il va donenr un but au monde. Si je juge tout en fonction de moi, homme, le but de Dieu va être le

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    Pour répondre à cette question nous définirons de façon précise les termes du sujet que sont la morale et les conventions sociales, puis nous nous intéresserons à l’application de la morale dans la société, enfin nous verrons si la morale est détachable des conventions sociales. Aujourd’hui, la morale peut se définir comme étant un ensemble de principes, de jugement, de règles de conduite, de devoirs, de valeurs, relatives au bien et au mal. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société, c’est pourquoi comme nous l’avons vu précédemment, ils se mettent à jour en permanence, en même que la pensée des hommes qui est forgées par la société, la morale évolue.….

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  • Descartes, explication de texte
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    On comprend donc que cette faculté soit étroitement liée d'une part à la raison, mais également à l'idée de morale. Selon Descartes, le rôle de la morale se résume donc à guider les choix, c'est à dire à s'extraire de l'indifférence négative en donnant à l'homme des raisons de se déterminer, pour ou contre son propre jugement de valeur : quelle que soit la force des déterminismes moraux, ceux-ci trouvant leur siège dans un accès limité, le pouvoir de décision de la volonté reste décisif. Toutefois, dans ce cas, sur quoi se fonde le libre arbitre ? C'est à dire que si notre propre perception indique de prendre telle décision, pourquoi alors choisir justement la décision opposée ? Si l'on considère que ce choix se base sur l'agrément (la raison préférant le Vrai au Faux), alors il ne peut pas être considéré comme une véritable manifestation du libre arbitre.….

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  • Spinoza traité théologique
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    la faculté qui permet de penser et d'agir selon des critères susceptibles d'être reconnus par tous. Elle indique le chemin à suivre, nous dit ce que nous devons faire. Que veut dire Spinoza lorsqu'il parle de « vraie raison » ? C'est précisément parce que l'homme n'est pas pure raison que celle-ci peut être obscurcie ou détournée de sa fonction première : le passionné par exemple, verra ses jugements faussés par le manque d'objectivité ou il justifiera ses écarts par des arguments prétendument rationnels afin d'avoir de « bonnes raisons » d'agir comme il le fait. Pour jouer correctement son rôle la raison ne doit pas se laisser envahir par la dimension affective de l'individu.….

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    L'exigence morale détermine ce que l'on doit faire. Mais peut-on néanmoins réduire toute moralité à une convention, à une dimension relative? Ne peut-il y avoir des règles de morale universelles ? C'est la société qui nous forme moralement. "….

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  • La Morale S Oppose T Elle N Cessairement Au D Sir
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    Il faut une base, des lois, des valeurs pour que les hommes aient une morale conforme à nos sociétés actuelles. La morale ne serait liée qu'à l'expérience et l'éducation, plutôt qu'à la naissance. Elle serait tiré d’un conformisme, une tendance à se conformer aux usages, à accepter les manières de penser ou d'agir du plus grand nombre, les normes sociales. Cette morale nous oblige à faire non pas l'extraordinaire mais le « normal ». Les adultes transmettent des valeurs aux enfants qui permet la mise en place de la moral : « Il ne faut pas mentir », « Ne parle pas la bouche pleine », …….

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  • Stef
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    La morale elle est un ensemble de règles de conduite , de relations sociales d'une societe qui varie selon la culture. La technique a sa propre morale et devient elle meme un juge de morale. Tel est le point de départ du problème. Le technique ne dépend pas de la morale des hommes; la technique ne doit pas être juger si elle apparaît comme nécessaire.….

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    Commentaire du texte de Spinoza Texte : "Ce n'est pas pour tenir l'homme par la crainte et faire qu'il appartienne à un autre, que l'État est institué; au contraire, c'est pour libérer l'individu de la crainte, pour qu'il vive autant que possible en sécurité, c'est-à-dire conserve aussi bien qu'il se pourra, sans dommage pour autrui, son droit naturel d'exister et d'agir. Non, je le répète, la fin de l'État n'est pas de faire passer les hommes de la condition d'êtres raisonnables à celle de bêtes brutes ou d'automates, mais au contraire il est institué pour que leur âme et leur corps s'acquittent en sûreté de toutes leurs fonctions, pour qu'eux-mêmes usent d'une raison libre, pour qu'ils ne luttent point de haine, de colère ou de ruse, pour qu'ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l'État est donc en réalité la liberté." Dans ce texte, Spinoza défend essentiellement l’idée que la fonction de l’État, c’est à dire son utilité principale, est d’assurer la sécurité et surtout la liberté des citoyens.….

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    Elle doit permettre à l’individu de faire valoir ses propres intérêts. La morale est universelle et normative. Il s’agit d’un ensemble de norme, celles-ci vont s’imposer à tous les individus voir la planète : on parle d’universalité. « La morale porte sur le Bien et le Mal, considérées comme des valeurs absolues »….

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