Chat
Pour fêter notre Dossier Noël, le boss est allé piocher dans l’un de ses récents posts sur son blog 1 Gars 3 Nanas, où il raconte sa réticence à jouer le jeu du Père Noël avec ses deux filles.
(oh tiens encore un post où je vais me faire des copines et des copains)
Comme beaucoup de parents, j’ai des principes à la con. L’un d’entre eux consiste à ne pas raconter de bobards à mes gamins. Simple à appliquer quand ça ne concerne que nous, il suffit qu’on se démerde entre nous mais dès que le flûtiau touche à l’universel, c’est BIEN plus compliqué.
C’est le cas avec… le Père Noël. Quand le monde entier se met d’accord pour raconter un tas de conneries à tes gamins, que faire ? J’ai choisi de fermer ma gueule et de ne surtout pas cautionner. Mes filles ne m’entendront jamais parler du Papa Noël, de la cheminée, des cadeaux et de toutes ces merdes.
Difficulté numéro 2 : ma femme est A FOND dans l’esprit de Noël et tout ce tas de bullshits. Dé-solidarité silencieuse, donc.
(Oui, non, je n’aime également pas les chats, qui sont aussi utiles que le Père Noël – © flickr Malingering)
“Mais pourquoi est-il si rabat-jooooooie ?”, me diras-tu. PARCE QUEEEEE… perso, j’ai très mal vécu la “révélation” étant gamin. A partir de là, plusieurs constats :
■Vous êtes sûrs-sûrs SÛRS que vous l’avez bien vécu, vous ? Ca ne vous a pas fait bizarre ? Ou bien vous avez occulté que vos parents vous ont ouvertement menti pour la première fois de leur vie.
■Parce que oui, le Père Noël, c’est le premier mensonge qu’on fait à son gamin et surtout LE mensonge universel accepté par tout le monde. Au nom de quoi on reproduit bêtement ce que nos parents nous ont fait “subir” ? Y’a pas moyen, je lutte contre cette idée de toutes mes forces.
■La plupart du temps, on l’apprend non pas par les parents, mais à l’école, par les copains ou par une pub à la télé. Ou bien c’est plus insidieux : on s’en rend