Chronique: au bonheur des dames
Pages 1 à 50 (08/04)
Le roman commence assez vite avec l’arrivée de ces trois personnages dans Paris. Cela m’a fort convenu car je n’aime pas trop les longues mises en scènes remplies de détails qui donnent trop de lenteur au livre. Cette entrée en matière m’a permise de rentrer directemment dans le roman. Ensuite, j’ai été frappé par l’importance qu’ attache Zola à la description des vitrines des magasins. Je pensais tout d’abord que ce récit parlait d’histoires d’amour mais en lisant je me suis questionné sur le réel sujet de ce livre. Serais-ce à propos des commerces dans Paris. C’est quand j’ai lu qu’un magasin portait l’enseigne ”Au bonheur des dames” que je me suis rendu compte que ma première idée de cette oeuvre était fausse. Je fus aussi fort intrigué par le but du voyage entrepris par Denise, Pépé et Jean. Ces trois personnages qui débarquent dans Paris avec quelques bagages sous la main. Que viennent-ils donc faire là?
Lorsqu’ils vinrent demander un refuge et du travail chez l’oncle Baudu j’ai cru que celui allait les renvoyer chez eux car les affaires tournaient mal pour lui. Ce personnage semble fort intriguant car il a la gentillesse de les abriter dans sa maison mais il n’en est pas très content. Il a l’air très imposent et inspire le respect. De plus, l’oncle Baudu laisse Denise aller se présenter pour un travail chez monsieur Mouret alors que celui–ci est présenté comme son ennemi juré car il a ruiné son commerce. Le magasin “Au bonheur des dames” semble attiser la haine des commerçants du quartier car il tue les petits commerces en leur prenant toute leur clientèle. Je me demande si Denise travaillera dans le magasin “Au bonheur des dames” et si l’oncle Baudu ne la laisse pas y travailler seulement afin d’espionner le commerce de son concurrent. Les nombreuses tensions annocent jusqu’ici un roman très intense.
Pages 51 à 100 (14/04)
Subitement, Zola arrête de conter l’histoire de Denise et