Circonscription verlaine
Le premier vers, en trois parties, accentué de 2 donne le ton du poème et cette relation titre-contenu. Nous observons aussi « retiens » verbe retenir, et « asseyons-nous » proposition sous forme affirmative. Le deuxième vers indique lui le lieu bucolique avec « sous cet arbre géant » mais aussi une certaine ambiance « mourir la brise », que confirment les vers 3 et 4 avec « le clair de lune blême et doux ». Le champ lexical du corps humain apparaît aussi dans cette première strophe avec « main » « souffle » « soupirs » et « caresse ».
Le deuxième quatrain commence comme le premier, avec deux propositions, 1virgule. « Baissons nos yeux » proposition plutôt sous forme affirmative et « immobiles» affirme la discrétion et la retenue présente dans tout le poème. Celle-ci se suit au vers 6 et 7 avec « ne pensons pas, rêvons » phrase affirmative avec interdiction, avec le négatif « pas » suivi du verbe « rêvons » sous forme d’obligation à la 1e personne du pluriel ; et de « laissons... » sur le même principe du verbe qui sert d’ordre. Au vers 7 les verbes « s’enfuit » et « s’épuise » indique un mouvement, qu’on peut aussi associer au mouvement de la brise. Le champ lexical du corps est confirmé avec « yeux » « genoux » et « cheveux’ .
Le Troisième quatrain suit la structure des 2 précédents avec « oublions », signe de retenu, accompagné de l’adjectif « discrète’ . Le mouvement est encore présent ici avec « continue » que l’on associe à l’âme mais aussi comme l’explique explicitement l’auteur à « ce calme et cette mort sereine du soleil » que nous comprenons comme le coucher du soleil, passage du jour à la nuit.
Enfin le quatrième quatrain tjrs sur la même structure que les autres avec « restons » et « silencieux »