Il y a trois niveau : pblématique, analyse, pltq. SEP : vision globale du monde. Qu’est ce qui est au cœur de la pensée ? créat° des richesses et leurs distribut° → comprendre d’où elle vient, comment elle se répartie, s’échange. Au départ il y a tjs la pblématique avec des quest° importantes. In doctrine = ensemble de préceptes.
Quelques ex : quand on pose les quest° sur la richesse. o Marx → les gens qui produisent ne récupèrent pas la valeur du produit qu’ils ont fait → exploitat°, les producteurs dif de ceux qui récupèrent. → répartit° totalement inégale (classe ouvrière). Logique de lutte des classes. Marx sera du coté des travailleurs. o Ricardo : est d’accord avec Marx, mais l’act° de la répartit° est au cœur de sa réflexion, et ce qui motive la product° serait le profit. Le héros de l’histoire est l’entrepreneur. o Néoclassiques : éco est un lieu de marché, et c’est la loi de l’offre et de la demande qu’ils vont appelé la « loi de la gravité » qui détermine un prix d’équilibre. Logique de l’équilibre. → vision naturelle du monde, l’histoire devient ahumaine, atemporelle, et donc pas importante. Ils traitent l’homme comme une chose. o Keynes : le capitalisme nécessite une régulat° pour fonctionne. Le capitalisme fonctionne avec le chômage qui n’est donc pas une situat° de crise mais une situat° normale (ex : de la crise de 1929).

Ils ont tous raison, car ça évoque de la réalité. Il n’y a pas un meilleur que l’autre, et on ne peut pas prendre un peu de chacun.
Le deuxième niveau est l’analyse éco : l’on fait des théories à propose des affirmat°. Grds économistes : ceux qui font donc des théories cohérentes internes et externes, sur plusieurs plans. Tout système éco est pltq, même celui qui se revendique de la science eco. Avant les néoclassiques tous les autres disaient faire de la éco pltq, et les néoclassiques disent faire de la science éco → idéologie. On peut avoir une démarche de science éco et après faire de la éco pltq disait Walras.