Avec la fin des sociétés d’ordre (Révolution Française) et le développement progressif de l’économie industrielle, apparaissent des groupes sociales qui n’appartiennent ni a la bourgeoisie ni au prolétariat : les classes moyennes. On passe d’une stratification d’ordre à une stratification de classe. Ces classes ont du construire leur position au lieu d’en hériter et partagent également la même ambition d’ascension sociale.
Depuis la Seconde Révolution Française (1965-1984) il y a une transformation de la structure sociale : avec la disparition de la société paysanne traditionnelle, l’embourgeoisement des ouvriers et le gonflement d’une classe moyenne, on ne peut pas représenter la société sous la forme classique d’une pyramide. Egalement, les inégalités de salaire diminuent et l’emploi féminin progresse. Cette transformation est aussi liée a une mobilité sociale et grâce a celle-ci c’est développé la classe moyenne. Il y a eu un phénomène de moyennisation, où la hausse générale du niveau de vie a partiellement gommé les inégalités sociales d'une petite partie de la population simultanément à une forte croissance du PIB. On va avoir un rapprochement des niveaux et des modes de vie (60’s l’école se démocratise), et on retrouve donc un phénomène d’homogénéisation. De plus, les syndicats vont disparaitre et les ouvriers entrent à la societe de consommation avec le Fordisme. Cela veut dire, qu’il y a un production de masse liée a une consommation de masse, permit grâce au progrès économique.
Cependant, a la fin des 30 glorieuses il y a un renversement des classes moyennes et elles son en train de se détruire. En effet, si tout le monde est moyen, plus personne ne l’est, donc la classe moyenne n’existe plus. De plus, avec la crise économique renforcée en 1984, la stagnation économique, les inégalités croissantes, les incertitudes et l’illisibilité de l’avenir contribuent à détruire lentement le modèle objectif d’une société de classe. Egalement, le problème