Codominance
Pour un grand nombre de gènes, les individus sont hétérozygotes, c'est à dire qu'il a hérité de ces parents, un allèle paternel différent de l'allèle maternel par rapport au gène considéré. 2) notions de dominance, récessivité et de codominance exemple : on considère le gène responsable des groupes sanguins, qui possède 3 allèles A, B et O.
Exemple : le gène “groupe sanguin“ est sur le chromosome n° 9, sur le bras long.
La présence ou l’absence de certaines molécules chimiques A et B (= antigènes A et B) est responsable des groupes sanguins du système ABO. Comment un gène “groupe sanguin” détermine-t-il l’appartenance à tel ou tel groupe sanguin ? Le gène code pour une enzyme qui dirige la synthèse des marqueurs membranaires
Les hématies de groupe sanguin AB ont donc fabriqué les enzymes A et B. La notion de chromosomes homologues Dans chaque ¢, il y a des autosomes homologues maternelle. Les marqueurs membranaires à l’origine des groupes sanguins individu de groupe sanguin AB l’enzyme A. au même locus, le locus “groupe sanguin” l’information génétique qui code pour la synthèse de l’enzyme B. Cas d’un individu de groupe O Les 2 chromosomes homologues portent la même information génétique, celle qui code pour l’enzyme non fonctionnelle.
Conclusion: Tous les individus portent au même locus le même gène mais à cet endroit précis du chromosome l’information génétique contenue dans l’ADN peut ne pas être la même. Pour ces différentes versions du gène, on parle d’allèles. Page 9 sur 11
A, B et O sont 3 allèles différents du gène “groupe sanguin”
Ecriture des génotypes dans le cas des autosomes Le génotype : est l’ensemble des allèles d’un gène fraction L
Les 2 barres symbolisent les 2 chromosomes homologues. Homozygotie – hétérozygotie Quand les 2 allèles du gène sont identiques, on dit que la ¢ est homozygote pour ce gène. Quand les 2 allèles sont différents, on dit que la ¢ est hétérozygote pour le gène. Cas des gonosomes ou