Combat de la peine de mort de victor hugo
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Photographie de Victor Hugo en 1883.
Source : www.ac-grenoble.fr
J’ai utilisé le moteur de recherche Google puis ensuite ces sites :
• www.assemblee-nationale.fr • lettres.ac-rouen.fr • www.ac-strasbourg.fr • expositions.bnf.fr
A l’époque de Victor Hugo, au 19ème siècle, la violence était très présente et occupait une grande place dans la vie des habitants de ce même siècle. Cette violence se présentait sous différentes formes de celles que nous connaissons de nos jours. Pour lutter contre cette violence, le gouvernement n’avait que deux solutions: soit l’enfermement soit la peine de mort (la guillotine a cette époque). Dans ces années la Monarchie de Juillet s’en sert pour se débarrasser des opposants politiques, les chefs politiques, et les agitateurs en remplacent l’emprisonnement à vie. Dès la prise du pouvoir de la seconde République cette peine est remplacée par ce que l’on appelait « la guillotine sèche » qui consistait à exiler la personne en question.
La lutte contre la guillotine, la prison ou l’enfermement et la déportation, ou l’exil sont les volets du combat auquel Victor Hugo a été confronté.
Victor Hugo fut un abolitionniste. Dès son enfance Hugo fut confronté à des exécutions et durant toute sa vie il se battit contre la peine de mort. Victor Hugo tenta de faire réagir avec la littérature en publiant deux romans de jeunesse, « Le dernier jour d’un condamné » et « Claude Gueux » qui montrent l’injustice et l’inefficacité de cette cruelle sentence. « Le dernier jour d’un condamné » se présente sous la forme d’un journal qu’écrit un condamné durant son dernier jour avant son exécution ou il raconte ce qu’il s’est passé depuis son procès jusqu’au moment de son exécution.
« Claude Gueux » est un roman dénonçant la peine de mort. Hugo s’appuie d’un personnage réel, Claude Gueux, condamné à l’exécution.
Cela ne suffit pas pour abolir la peine. Victor Hugo