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Comment l'être humain peut-il améliorer le monde dans lequel il vit ?

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Sujet: Comment l’être humain peut-il s’améliorer et améliorer sa société?

L’être humain vit et évolue en société depuis déjà plusieurs siècles. Dès ce moment, il ne cherche qu’à améliorer le milieu dans lequel il vit. De quelle façon l’être humain pourrait-il s’améliorer et améliorer son monde ? L’humain veut améliorer sa société au sens où ceux-ci seraient le plus égaux possible, le plus libre possible, le plus intelligent possible, etc. Le darwinisme social et Jean-Jacques Rousseau ont beaucoup réfléchi sur ce sujet et ont chacun trouvé une solution. D’une part, le darwinisme social pense que l’on devrait empêcher les gens «inférieurs» de se reproduire. D’autre part, Rousseau propose un contrat social où l’homme se rapprocherait de l’état de nature.

En premier lieu, le darwinisme social croit et s’appuie même sur la théorie de l’évolution du grand Charles Darwin, afin d’améliorer la société. Pour ce faire, Galton et Spencer ont pensées d’appliquer consciemment ce que Darwin appelle «la sélection naturelle», c’est-à-dire que les plus aptes se reproduisent. Pour ces deux philosophes, les plus aptes sont les gens supérieurs aux autres, au sens plus intelligent, plus riche, plus en santé, plus fort, etc. Or, en donnant le droit aux humains supérieurs de se reproduire et en empêchant la reproduction aux autres, les plus faibles disparaitront au fil du temps. De plus, avec les bonnes mutations, l’espèce humaine pourra s’améliorer de plus en plus. Pour appliquer ce processus appelé «eugénisme», le darwinisme social propose de castrer les gens inférieurs dans le but de garder que les gens supérieurs dans les générations suivantes.

En second lieu, Jean-Jacques Rousseau a une façon différente de voir les choses. Ce philosophe français croit que l’homme à l’état de nature était bien meilleur que celui à l’état de société, dont nous sommes aujourd’hui. Il s’explique en comparant les qualités et les défauts des deux états et arrive à la conclusion que les hommes à

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